Risikomanagement ist bei Weitem nicht nur ein Thema für Konzerne. Es gehört auch im Kleinunternehmen zu den zentralen unternehmerischen Aufgaben. Denn der geplante und professionelle Umgang mit Chancen und Risiken ist ein bedeutender Erfolgsfaktor, um die Unternehmensziele zu erreichen.
La gestion des risques ne concerne pas que les grands groupes, loin de là: dans les petites entreprises aussi, elle fait partie des tâches centrales de tout entrepreneur. Car la gestion planifiée et professionnelle des opportunités et des risques est un facteur de réussite important lorsqu’il s’agit d’atteindre les objectifs de l’entreprise.
This chapter aims to provide an overview of the foundations of texture processing for biomedical image analysis. Its purpose is to define precisely what biomedical texture is, how is it different from general texture information considered in computer vision, and what is the general problem formulation to translate 2Dand 3Dtextured patterns from biomedical images to visually and biologically relevant measurements. First, a formal definition of biomedical tex-ture information is proposed from both perceptual and mathematical point of views. Second, a general problem formulation for biomedical texture analysis is introduced, considering that any approach can be characterized as a set of local texture operators and regional aggre-gation functions. The operators allow locally isolating desired texture information in terms of spatial scales and directions of a texture image. The type of desirable operator invariances are discussed, and are found to be different from photographic image analysis. Scalar-valued texture measurements are obtained by aggregating operator’s response maps over regions of interest.
Dans le cadre d’une réflexion sur l’économie créative et culturelle (ECC) initiée durant l’année 2014 et pilotée par Madame Elvita Alvarez, conseillère personnelle de Monsieur Sami Kanaan, le Département de la culture et du sport (DCS) s’est associé au Canton (plus précisément au Service Cantonal de la Culture) pour mandater une étude du poids économique de l’ECC à Genève. Comme souligné lors des premières Journées de l’économie créative et culturelle (12‐14 novembre 2014) consacrées à un remue‐méninge participatif autour du postulat « la culture créatrice de valeurs », cette étude répond à la nécessité de disposer d’une première analyse chiffrée de la situation.
Cet article s’inscrit en géographie de la finance et montre, à l’aide de diverses études de cas, com-ment l’industrie financière, en s’appropriant le concept de développement durable de manière par-ticulière, a construit sa propre approche de la « valeur financière durable » dans le cadre des fonds d’investissement socialement responsable (ISR). Il explique la manière dont l’industrie financière auto-valide son action en matière de finance « durable » par le recours à des organisations (agences de notation extra-financière et ONGs), des personnalités (experts, leaders d’opinion) ou des institu-tions (organisations internationales) qui, par leur réputation ou leur position, légitiment la « valeur durable ». Or, si ces acteurs parviennent à animer le débat médiatique, scientifi que et politique, ils restent largement sous l’influence de l’industrie financière et ne remettent pas en cause l’essence même des produits financiers, la coupure au territoire. L’absence de territorialisation et de contex-tualisation territoriale empêchent toute approche forte de la durabilité, fondée sur les acteurs locaux et une opérationnalisation sur un territoire donné.
