Près d’un quart de siècle après l’éclatement de la Yougoslavie et la fin du régime communiste en Albanie, les pays des Balkans occidentaux ont accompli d’importants efforts pour passer à un Etat de droit démocratique et à une économie de marché ouverte. Mais les défis à relever restent de taille. Parmi eux figurent notamment la décentralisation, l’amélioration de la gouvernance ainsi que le renforcement de la participation politique des citoyens. Des invités originaires de différents pays de la région ont échangé leur point de vue sur ces questions dans le cadre de la Conférence annuelle de la coopération suisse avec l’Europe de l’Est, qui a eu lieu aujourd’hui 29 mai à Bienne. Ils ont aussi discuté des moyens de mettre en place des services communaux efficaces et fiables.
Le produit intérieur brut (PIB) réel de la Suisse a reculé de 0,2 % au 1er trimestre 2015 par rapport au trimestre précédent*. En particulier, la balance commerciale (marchandises et services) a livré des impulsions négatives. Les évolutions positives de la formation brute de capital fixe et des dépenses de consommation des ménages privés ont limité un recul plus important du PIB. Du côté de la production, plusieurs rubriques ont connu un affaiblissement conjoncturel. Des impulsions négatives à la croissance ont été livrées en particulier par le commerce et l’hébergement. Par rapport au 1er trimestre 2014, le déflateur du PIB a reculé de 0,9 %, alors que le PIB à prix constant a progressé de 1,1 %.
Beinahe ein Viertel Jahrhundert nach dem Zerfall von Jugoslawien und dem Ende des kommunistischen Regimes in Albanien haben die Länder des Westbalkans viel erreicht auf dem Weg zu Demokratie, Rechtstaatlichkeit und Marktwirtschaft. Aber es bleibt noch viel zu tun. Zu den grössten Herausforderungen zählen namentlich die Dezentralisierung, die Verbesserung der Gouvernanz sowie die Stärkung der Bürgerbeteiligung. Verschiedene Gäste aus den Ländern dieser Region haben sich an der Jahreskonferenz der Schweizer Ostzusammenarbeit, die am 29. Mai 2015 in Biel stattfand, zu diesen Themen geäussert. In ihren Diskussionen ging es aber auch um die Bereitstellung effizienter und zuverlässiger Gemeindedienstleistungen.
Das reale Bruttoinlandprodukt der Schweiz (BIP) ging im 1. Quartal 2015 um 0,2% zurück*. Negative Impulse kamen insbesondere von der Handelsbilanz mit Waren und Dienstleistungen. Die positive Entwicklung der Bruttoanlageinvestitionen und der privaten Konsumausgaben verhinderte einen stärkeren Rückgang des BIP. Produktionsseitig schwächte sich das Wachstum in vielen Rubriken deutlich ab. Negative Impulse kamen insbesondere von Handel und Gastgewerbe. Gegenüber dem 1. Quartal 2014 nahm der BIP-Deflator um 0,9% ab, während sich das reale BIP um 1,1% erhöhte.
En 2014, la Confédération et les cantons ont consacré davantage de ressources à la lutte contre le travail au noir. Le nombre de contrôles de personnes a augmenté considérablement. Au total, les organes de contrôle ont contrôlé 38’981 personnes dont 13’594 ont été suspectées de travail au noir. L’utilisation de la procédure de décompte simplifiée pour les faibles volumes salariaux a continué d’évoluer favorablement. Une proposition pour la révision de la loi sur le travail au noir afin d’optimiser l’exécution est actuellement en consultation.
Bund und Kantone setzten 2014 wiederum mehr Ressourcen für die Bekämpfung der Schwarzarbeit ein. Die Anzahl Personenkontrollen ist deutlich gestiegen. Die Kontrollorgane führten insgesamt 38‘981 Personenkontrollen durch und vermuteten in 13‘594 Fällen Schwarzarbeit. Die Nutzung des vereinfachten Abrechnungsverfahrens bei geringen Lohnvolumen hat weiter zugenommen. Ein Vorschlag für die Revision des Bundesgesetzes gegen die Schwarzarbeit, um den Vollzug weiter zu optimieren, ist derzeit in der Vernehmlassung.
Le Conseiller fédéral Johann N. Schneider-Ammann, chef du Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche (DEFR), se rendra du 15 au 17 mai en Inde. Il rencontrera en particulier son homologue, la ministre du commerce et de l’industrie, Nirmala Sitharaman à Delhi. Les discussions porteront sur les relations économiques bilatérales, les négociations de l’accord de libre-échange entre l’AELE et l’Inde, et l’évolution économique en Asie du Sud. Des visites sur le thème de l’innovation sont aussi prévues à Bangalore.
Bundesrat Johann N. Schneider-Ammann, der Vorsteher des Eidgenössischen Departements für Wirtschaft, Bildung und Forschung (WBF), wird vom 15. bis 17. Mai 2015 in Indien weilen und in Delhi insbesondere seine Amtskollegin, die Handels- und Industrieministerin Nirmala Sitharaman treffen. Bei den Gesprächen wird es um die bilateralen Wirtschaftsbeziehungen, die Verhandlungen über das Freihandelsabkommen zwischen der EFTA und Indien sowie um die Wirtschaftsentwicklung in Südasien gehen. Zudem sind in Bangalore verschiedene Anlässe zum Thema Innovation geplant.
Depuis fin mars 2015, une coalition emmenée par l’Arabie saoudite affronte les rebelles houthistes au Yémen. Le Conseil fédéral suit de près l’évolution de la situation. Les demandes d’exportation de matériel de guerre vers la région sont évaluées par le SECO et le DFAE au cas par cas, sur la base de la législation sur le matériel de guerre.
Le 13 mai 2015, le Conseil fédéral a décidé d’ajouter un critère d’évaluation pour les demandes d’exportation et de courtage pour les biens destinés à la surveillance de l’internet et des communications mobiles. Une demande de ce type sera dorénavant rejetée s’il y a des raisons de penser que le bien à exporter ou qui ferait l’objet du courtage risque d’être utilisé par le destinataire final comme moyen de répression.