Agenda des manifestations et actualités

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Die Lage auf dem Arbeitsmarkt im Juni 2019

Registrierte Arbeitslosigkeit im Juni 2019 - Gemäss den Erhebungen des Staatssekretariats für Wirtschaft (SECO) waren Ende Juni 2019 97’222 Arbeitslose bei den Regionalen Arbeitsvermittlungszentren (RAV) eingeschrieben, 4’148 weniger als im Vormonat. Die Arbeitslosenquote sank damit von 2,2% im Mai 2019 auf 2,1% im Berichtsmonat. Gegenüber dem Vorjahresmonat verringerte sich die Arbeitslosigkeit um 9’357 Personen (-8,8%).

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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09/07/2019

La situation sur le marché du travail en juin 2019

Les chômeurs inscrits en juin 2019 - Selon les relevés du Secrétariat d'Etat à l'économie (SECO), à fin juin 2019, 97’222 personnes étaient inscrites au chômage auprès des offices régionaux de placement (ORP), soit 4’148 de moins que le mois précédent. Le taux de chômage a diminué, passant de 2,2% en mai 2019 à 2,1% pendant le mois sous revue. Le chômage a diminué de 9’357 personnes (-8,8%) par rapport au mois correspondant de l'année précédente.

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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09/07/2019

Attention: Phishing e-mail in circulation with subject «Are you on campus?»

We have been notified of a phishing e-mail that claims to come from our Dean, Prof. Harald Gall. This is a spoofed e-mail that is likely to be the initial e-mail in a multi-prong phishing attack. The subject of the e-mail is «Are you on campus?». If you receive an e-mail like this, please delete it immediately.

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Université de Zürich - Faculté des sciences économiques

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09/07/2019

Soutien pour Mickaël Béday après un licenciement antisyndical

Plus de cent personnes ont manifesté ce lundi midi devant le siège de l'entreprise de composants d'horlogerie Dubois Dépraz au Lieu, dans la vallée de Joux (VD). Elles réclament la réintégration à son poste de Mickaël Béday, délégué syndical licencié il y a deux semaines sur la base de motifs douteux.

Président de l'USS, Pierre-Yves Maillard s'est rendu sur place pour prendre part à cette manifestation de soutien. "Tout le monde prône le partenariat social", a-t-il déclaré devant les manifestant-e-s. "Mais sans une vraie réelle participation des salarié-e-s, ou si ceux-ci doivent craindre un licenciement lorsqu'ils et elles s'engagent, le partenariat social perd tout son sens."

Le 24 juin, Mickaël Béday s'est vu signifier son licenciement pour des prétendues négligences. Auparavant, il avait subi de manière répétée des critiques de la part de l'entreprise en raison de son engagement syndical. Pour le syndicat Unia et pour les manifestant-e-s, il est évident que Dubois Dépraz cherchait un prétexte pour se débarrasser d'un représentant du personnel qui " dérangeait ". Ils exigent dès lors que M. Béday puisse réintégrer son poste dans l'entreprise et poursuivre son activité de délégué syndical.

Ce nouveau cas démontre une fois de plus à quel point il serait important d'avoir une protection efficace contre le licenciement pour les représentant-e-s du personnel et les personnes engagées au plan syndical. Et à quel point la Suisse est malheureusement déficiente en la matière. Quelques semaines avant la Conférence annuelle de l'Organisation internationale du Travail (OIT), la Suisse a même atterri sur la liste noire des pays qui violent les conventions de l'OIT. Et ce, précisément l'année du centenaire de l'organisation onusienne et alors que la conférence allait être présidée, en juin, par l'ambassadeur suisse Jean-Jacques Elmiger.

Au moins, cette liste noire a produit son effet : le conseiller fédéral Guy Parmelin a montré sa volonté d'améliorer, enfin, la protection contre les licenciements abusifs de salarié-e-s engagés au plan syndical. Il a proposé une médiation entre syndicats et patronat, accompagnée par des experts de l'OIT. Ce revirement a incité l'USS à approuver le retrait de la Suisse de la fameuse liste noire. Les parties ont désormais douze mois pour élaborer et présenter des propositions de solutions afin que la protection contre le licenciement en Suisse atteigne enfin le niveau des conventions de l'OIT.

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Union syndicale suisse

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08/07/2019

Coopération internationale : il faut renforcer la dimension sociale !

Dans le cadre de la collaboration internationale, la Suisse, non seulement ne satisfait pas à ses obligations générales, mais ne remplit clairement pas non plus le mandat de sa propre Constitution, qui prévoit qu'elle " contribue notamment à soulager les populations dans le besoin et à lutter contre la pauvreté ". La définition des objectifs et des priorités revêt ici aussi, étant donné les fonds substantiels engagés - environ 3 milliards de francs par an -, une grande importance.

La stratégie de coopération internationale entre 2021 et 2024 mise en consultation par le conseiller fédéral I. Cassis a été largement débattue dans les médias. Les priorités fixées dans cette stratégie pour une meilleure gestion de la migration et le nouveau critère des intérêts de la Suisse ont en particulier soulevé de grosses vagues.

L'Union syndicale suisse (USS) aussi a vertement critiqué ce changement de paradigme. Selon elle, la coopération internationale doit continuer à se baser sur la référence aux valeurs de solidarité et d'universalité, et pas sur un mot d'ordre tape-à-l'œil du genre " La Suisse d'abord ! ". Le but à court terme de la réduction de la migration n'a vraiment pas sa place ici. S'il est vrai qu'une coopération au développement intelligente peut dans les faits créer des alternatives à l'émigration, cela ne se fait toutefois que dans l'optique du long terme, et aucunement sans tenir compte d'autres influences comme par exemple l'importance croissante du changement climatique comme cause de fuite hors de son pays.

Cela, indépendamment du fait que force est de constater avec lucidité que, pour les personnes concernées, la migration ne constitue pas une opportunité moins intéressante - à tout le moins sous l'angle financier - que la lutte efficace contre ses causes : sur toute la planète, les migrants envoient en effet chaque année dans leurs pays d'origine pour plus de 400 milliards de dollars. C'est plus du triple de tous les montants publics consacrés à l'aide au développement et cela représente ainsi une part importante des recettes des pays en développement.

Un travail décent

Dans l'esprit de l'Agenda 2030 de l'ONU pour le développement durable, à la conception duquel elle a contribué de manière déterminante, la Suisse demande que la dimension sociale de la coopération internationale soit nettement renforcée. Pour les travailleurs et travailleuses, l'objectif numéro 8 du développement durable de cet Agenda est absolument central. Il demande qu'un travail décent soit garanti à toutes les femmes et à tous les hommes et satisfasse à des critères clairs.

Dans son dernier rapport annuel 2019 sur les développements futurs, l'Organisation internationale du Travail (OIT) arrive cependant à la conclusion décevante qu'au " rythme actuel des progrès effectués, l'objectif du travail décent pour tous [...] semble impossible à atteindre dans de nombreux pays " d'ici 2030. Il est donc d'autant plus important que la collaboration internationale aussi s'oriente davantage sur cet objectif. La stratégie Coopération internationale (CI) 2021-2024 présentée se situe cependant, avec son engagement pour " la création de marchés et [...] la création d'emplois ", largement en deçà de la revendication du " travail décent ", car il fait l'impasse sur les dimensions centrales que sont la qualité la durabilité des emplois.

Ne pas affaiblir l'égalité

Les syndicats critiquent en outre le fait que l'égalité des genres va sensiblement perdre en importance dans le nouveau message. Dans le message 2017-2010, elle était à juste titre définie comme étant l'un des deux seuls thèmes transversaux (" L'élimination des discriminations fondées sur le sexe est à la fois un objectif et une condition du développement. "). Mais désormais, elle ne va apparaître dans les objectifs que comme un élément de l'état de droit. C'est incompréhensible, par exemple si l'on sait que, dans le monde, les femmes assument encore, selon l'ONU, trois fois plus de travail domestique et de soins non rémunérés que les hommes. Ou qu'aujourd'hui dans le monde, une fille entre 15 et 19 ans sur cinq subit des violences sexuelles, pour ne donner que deux chiffres.

Être enfin politiquement cohérent

Les effets de la coopération internationale ne doivent jamais être considérés pour eux seuls. Car, en fin de compte, on n'a rien gagné si la coopération internationale doit en même temps juguler péniblement des effets négatifs qu'elle a même provoqués elle-même dans les pays producteurs, à travers des politiques commerciale, fiscale, environnementale et agricole non durables.

Mais c'est parfois précisément comme ça : la Suisse se classe par exemple au 21e rang sur les 27 pays industrialisés prix en compte par l'indice, généralement reconnu, de l'engagement des États en matière de développement (" Commitment to Development Index "). La politique environnementale (forte exportation de pollution de l'environnement et de l'air dans les pays en développement), la politique agricole (droits de douane élevés sur les produits agricoles) ou politique financière (maintien des niches fiscales existantes et secret bancaire), par exemple, contribuent à ce mauvais classement. C'est pourquoi l'OCDE a demandé à plusieurs reprises à notre pays de mener une politique plus cohérente en faveur du développement durable, ainsi que d'identifier les incidences négatives de sa politique intérieure sur les pays en développement et de les éliminer systématiquement. Or cette optique fait également largement défaut dans la stratégie qui nous est présentée.

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Union syndicale suisse

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05/07/2019

Bundesrat Guy Parmelin reist nach Japan und Vietnam

Der Vorsteher des Eidgenössischen Departements für Wirtschaft, Bildung und Forschung WBF, Bundesrat Guy Parmelin, wird vom 7. bis 14. Juli 2019 eine Wirtschafts- und Wissenschaftsmission nach Japan und Vietnam leiten. In beiden Ländern werden die Freihandelsabkommen zentraler Gegenstand der Gespräche mit der Regierung sein. Die mitreisenden Vertreterinnen und Vertreter der Schweizer Wirtschaft und der Schweizer Bildungs-, Forschungs- und Innovationslandschaft erhalten Zugang zu wirtschaftspolitischen Entscheidungsträgern und können ihr Netzwerk ausbauen.

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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05/07/2019

Le conseiller fédéral Guy Parmelin se rend au Japon et au Vietnam

Le chef du Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche (DEFR), le conseiller fédéral Guy Parmelin, conduira une mission économique et scientifique au Japon et au Vietnam du 7 au 14 juillet 2019. Dans ces deux pays, les entretiens avec le gouvernement porteront principalement sur les négociations de libre-échange. Les représentants de l’économie suisse et du paysage suisse de la formation, de la recherche et de l’innovation qui accompagneront le conseiller fédéral pourront rencontrer des décideurs économiques et élargir leur réseau.

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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05/07/2019

Ersatzteile für Flab-Systeme in saudi-arabischem Besitz werden reexportiert

Im Oktober 2018 hat das Eidgenössische Departement für Wirtschaft, Bildung und Forschung WBF die Wiederausfuhr von in der Schweiz reparierten Einzelteilen und Baugruppen sowie von Ersatzteilen für Flugabwehrsysteme, die im Besitz von Saudi-Arabien sind, provisorisch blockiert. Der WBF-Vorsteher hat den Bundesrat am 3. Juli 2019 informiert, dass für diesen Beschluss keine gesetzliche Grundlage besteht und er das Ausfuhrverbot daher wieder aufhebt.

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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04/07/2019

Des pièces pour systèmes DCA propriété de l’Arabie Saoudite seront réexportées

En octobre 2018, le Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche (DEFR) a bloqué provisoirement la réexportation des pièces détachées et des éléments d’assemblage réparés en Suisse, ainsi que des pièces de rechange pour des systèmes de défense aérienne propriété de l’Arabie saoudite. Le 3 juillet 2019, le chef du DEFR a informé le Conseil fédéral qu’il n’existait pas de base légale pour soutenir cette décision et qu’il levait l’interdiction d’exportation.

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04/07/2019

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