Agenda des manifestations et actualités
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EFTA Ministerkonferenz in Malbun, Liechtenstein
Bundesrat Guy Parmelin wird am 24. Juni 2019 an der Ministerkonferenz der EFTA (Europäische Freihandelsassoziation mit Island, Liechtenstein, Norwegen und der Schweiz) in Malbun, Liechtenstein, teilnehmen. Die Ministerin und Minister werden sich namentlich über die Freihandelspolitik der EFTA-Staaten gegenüber Nicht-EU-Staaten austauschen.
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SECO - Secrétariat d'État à l'économie
20/06/2019
Conférence ministérielle de l’AELE à Malbun, au Liechtenstein
Le conseiller fédéral Guy Parmelin participera, le 24 juin 2019 à Malbun (Liechtenstein), à la conférence ministérielle de l’Association européenne de libre-échange (AELE, dont les membres sont l’Islande, le Liechtenstein, la Norvège et la Suisse). Les ministres s’entretiendront en particulier de la politique de libre-échange des États de l’AELE vis-à-vis des États non membres de l’UE.
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SECO - Secrétariat d'État à l'économie
20/06/2019
In memoriam: Prof. Dr. Ernst Kilgus
Am 27. Mai 2019 ist Professor Dr. Ernst Kilgus 87-jährig verstorben. Er war emeritierter ordentlicher Professor für Betriebswirtschaftslehre und der erste Direktor des Instituts für schweizerisches Bankwesen (heute: Institut für Banking und Finance) von 1968 bis zu seiner Emeritierung 1997.
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Université de Zürich - Faculté des sciences économiques
19/06/2019
Données importantes de politique monétaire pour la semaine se terminant le 14 juin 2019
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Banque nationale suisse
17/06/2019
Un signal fort pour une avancée rapide vers l’égalité
La Grève des femmes* 2019 a dépassé les attentes les plus folles : avec une participation de bien plus de 500 000 personnes à cette journée de grève et d'actions pour l'égalité, la mobilisation a été encore plus forte que lors de la grève des femmes de 1991. Le 14 juin 2019 entre ainsi dans l'histoire de la Suisse comme la plus grande action politique depuis la grève générale de 1918. C'est ce qui ressort du bilan de l'Union syndicale suisse (USS) basé sur les chiffres définitifs des manifestations dans les grandes villes, des chiffres qui n'ont pu être établis qu'en soirée vendredi dans certains cas.
La promesse d'une très forte participation était déjà perceptible vendredi matin : quelque 100 000 personnes ont pris part avant midi aux premières actions dans la rue ou dans les entreprises et institutions. À Berne par exemple, un cortège de 5000 poussettes a parcouru les rues du centre-ville. Le présent bilan n'inclut pas les innombrables femmes qui, indépendamment de leur participation à l'une ou l'autre action, ont affiché leur soutien aux revendications de la Grève des femmes* en portant un badge, un foulard ou des vêtements violets. Il ne contient pas non plus toutes les femmes qui ont signifié leur volonté d'égalité en faisant quelque chose dans leur vie privée.
La participation aux manifestations de fin de journée a atteint une ampleur jamais vue en Suisse. Avec 160 000 personnes dans la rue, Zurich a vécu la plus grosse manifestation politique de son histoire. Et à Lausanne (env. 60'000), Bâle (40'000) et Berne (40'000), les foules ont paralysé les centres-villes. À Genève, elles étaient 20 000. Enfin dans les plus petites villes, les manifestations ont aussi pris des dimensions historiques : Fribourg (12 000), Sion (12 000), Bellinzone (10 000), Neuchâtel (10 000), Winterthour (env. 10 000).
Maintenir la pression
Cette mobilisation massive, qui rassemblé des femmes de toutes les parties de la société, montre bien que l'égalité de traitement des femmes dans la vie professionnelle et dans la société doit avancer, et va avancer. Pour les salaires, il faut maintenant passer à la vitesse supérieure. Les négociations salariales de cet automne seront l'occasion de mettre à contribution les employeurs et employeuses : il faudra qu'ils offrent enfin des hausses du salaire réel pour tout le monde, afin de rattraper le retard pris au cours des maigres dernières années. Les femmes en particulier doivent pouvoir en bénéficier, surtout dans les professions " typiquement " féminines qui se caractérisent trop souvent par un niveau salarial très bas. Enfin, le principe de " salaire égal pour un travail équivalent " doit être mis en œuvre sans plus tarder. Il n'est pas acceptable que, dès le début de leur carrière, les femmes soient désavantagées en termes de salaire par rapport à leurs collègues masculins.
Pour y remédier : des analyses salariales avec des contrôles et des sanctions. Il faut également améliorer les possibilités pour les femmes d'évoluer professionnellement. Ce qui veut dire notamment qu'il faudra faire progresser la conciliation entre famille et travail. Des investissements dans les crèches, les écoles en horaire continu, les soins à domicile et les offres de soins et d'assistance pour les personnes adultes qui en ont besoin permettront de décharger les femmes. Le sexisme doit être combattu avec la plus grande détermination, aussi dans le monde du travail. Cela nécessite, entre autres, une meilleure protection contre le licenciement en cas de maternité ou de soins apportés à des proches, ainsi que des mesures efficaces contre le harcèlement sexuel au travail.
Les milieux économique et politique ne peuvent plus fermer les yeux face à cette démonstration de force des femmes. Les longs mois de préparatifs de la Grève des femmes* 2019 ont renforcé encore davantage les liens entre organisations de femmes et syndicats : la pression sur les responsables des décisions restera forte pour faire avancer résolument l'égalité en Suisse.
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Union syndicale suisse
16/06/2019
La plus grande manifestation politique de l’histoire récente : un signal clair pour une marche rapide vers l’égalité
Le 14 Juni 2019 entre dans l'histoire récente de la Suisse comme la plus grande manifestation politique. En considérant l'ensemble de la journée, plusieurs centaines de milliers de femmes ont pris part aux actions, grèves et débrayages de la Grève des femmes*. Dans les plus grandes villes, les manifestations étaient encore bien plus grandes que lors de la grève des femmes de 1991. Le nombre impressionnant de jeunes femmes est à souligner particulièrement. Tout cela montre bien que l'égalité de traitement des femmes dans la vie professionnelle et dans la société doit, et va, avancer.
Le principe de " salaire égal pour un travail équivalent " doit être mis en œuvre sans plus tarder. Il n'est pas acceptable que, dès le début de leur carrière, les femmes soient désavantagées en termes de salaire par rapport à leurs collègues masculins. Pour y remédier : des analyses salariales avec des contrôles et des sanctions. Il faut également améliorer les possibilités pour les femmes d'évoluer professionnellement. Ce qui veut dire notamment qu'il faudra faire progresser la conciliation entre famille et travail. Des investissements dans les crèches, les écoles en horaire continu, les soins à domicile et les offres de soins et d'assistance pour les personnes adultes qui en ont besoin permettront de décharger les femmes. Les professions " typiquement " féminines doivent être revalorisées. Pour cela, il faut un salaire minimum de 4000 francs par mois et des CCT qui couvrent les branches à forte proportion féminine. Le sexisme doit être combattu avec la plus grande détermination, aussi dans le monde du travail. Cela nécessite, entre autres, une meilleure protection contre le licenciement en cas de maternité ou de soins apportés à des proches, ainsi que des mesures efficaces contre le harcèlement sexuel au travail.
Dans un premier bilan, les responsables de l'Union syndicale suisse (USS) sont extrêmement satisfaits du déroulement de la Grève des femmes*. Dès la matinée, environ 100 000 femmes se sont rendues à des brunchs de grève, des cafés, des pique-niques de grève, ou alors elles ont participé à des grèves en entreprise, des débrayages, des pauses prolongées ou des actions similaires. Dans une entreprise de nettoyage à Lucerne, la grève a eu un succès immédiat : l'employeur a assuré qu'il allait indemniser désormais le pré- et post-travail ainsi que les temps de trajets. La multiplicité des formes d'actions était tout simplement époustouflante, allant d'une radio spéciale Grève des femmes* dans une bonne partie de la Suisse à une course de déambulateurs en passant par une manif de poussettes. C'est la démonstration éclatante de la force de ce mouvement. Au cours des longs mois de préparatifs, de nouveaux réseaux se sont créés. La Grève des femmes* 2019 marque ainsi le début d'un mouvement pour l'égalité, mieux interconnecté et donc plus fort.
L'ampleur des manifestations dans la plupart des grandes villes de Suisse est impressionnante : avec Zurich (70 000), Bâle (40 000), Berne (40 000), Lausanne (au moins 60 000) et Genève (au moins 20 000), les manifestations du début de soirée dépassent déjà 230 000 personnes. De plus, dans les plus petites villes comme Fribourg, Neuchâtel, Sion ou Lucerne, des participations d'une dimension " historique " sont aussi constatées (Sion : 12 000 !).
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Union syndicale suisse
14/06/2019
Des centaines de milliers de femmes exigent des progrès rapides pour l’égalité
La Grève des femmes* déplace des foules. Avant même le début des grandes manifestations du début de soirée, il est évident que des centaines des milliers de femmes prennent part à la Grève des femmes* 2019. Les actions menées jusqu'à la mi-journée à travers le pays avaient déjà mobilisé quelque 100 000 personnes dans la rue ou dans les entreprises. Et depuis 15h24, elles seront de plus en plus nombreuses : partout en Suisse, les femmes quittent leur travail, car c'est à partir de ce moment-là qu'elles travaillent gratuitement à cause de la discrimination salariale. Les femmes le disent haut et fort : l'économie et la politique doivent faire davantage pour faire avancer l'égalité entre les femmes et les hommes. On le comprend bien : la Grève des femmes* n'est pas la fin d'une mobilisation préparée depuis des mois, mais bien le début d'un mouvement pour l'égalité encore plus large, mieux interconnecté et donc plus fort.
Dès le matin, il y a eu un peu partout en Suisse des grèves, des pauses prolongées et des débrayages momentanés : dans l'industrie horlogère, dans le secteur des nettoyages, dans les hôpitaux, les écoles ou le commerce de détail. Au Centre hospitalier universitaire de Lausanne (CHUV), environ 500 employées ont cessé momentanément de travailler à 11h00. À Berne, toujours à 11h00, 500 vendeuses ont également débrayé et exigé, à l'aide d'une immense banderole, plus de reconnaissance pour leur travail, plus de salaire et des horaires d'ouverture des magasins qui permettent de concilier travail et famille. Au Locle et au Sentier, des centaines d'ouvrières en horlogerie ont prolongé leur pause de midi. Dans le canton de Vaud, plus de 2000 enseignant-e-s ont débrayé. Des dizaines d'écoles de tous les niveaux ont connu des mouvements de grève. Et dans une douzaine d'école, la grève a été totale. À Lucerne, les collaboratrices d'une entreprise de nettoyages ont prouvé que cela vaut la peine de faire la grève : au terme d'un débrayage de trois heures, leur employeur a cédé et va payer dorénavant le pré- et post-travail ainsi que les temps de trajets.
Parallèlement aux grèves dans les entreprises et institutions, des dizaines de milliers de femmes sont descendues dans la rue dès le matin et jusqu'en début d'après-midi. La diversité des formes d'actions était immense. Pensez : 5000 personnes ont participé à la manif des poussettes à Berne. À Zurich, il y a eu une course de déambulateurs pour revendiquer une meilleure reconnaissance du travail de soins et d'assistance. Partout, on a vu des brunchs de grève, des pique-niques ou des cafés de grève. La nuit passée à Zurich, des militantes ont donné le coup d'envoi de la Grève des femmes* avec un cortège de klaxons à la Langstrasse. Et à Bâle, le logo de la Grève des femmes* illuminait la tour Roche. À Lausanne, la cathédrale était éclairée en violet et à Genève, une immense banderole ornait la tour de la RTS.
Ce dynamisme extraordinaire et la mobilisation massive montrent que la revendication d'une véritable égalité est très largement soutenue et qu'il faut maintenant aller de l'avant. Sérieusement.
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Union syndicale suisse
14/06/2019
Des points d’exclamation pour l’égalité : des dizaines d’écoles et de crèches en grève !
Partout en Suisse, les femmes ont lancé la Grève des femmes* 2019 en posant les premiers « points d’exclamation » pour l’égalité entre femmes et hommes. En Suisse romande, des dizaines d’écoles et de crèches sont en grève. Dans plusieurs dizaines d’entreprises, des cafés-grève ont eu lieu pour marquer le début de cette journée de grève et d’action. Et à Lucerne, des collaboratrices d’une entreprise de nettoyage ont fait la grève pendant trois heures, avec succès ! Elles protestaient contre le travail gratuit, les temps de trajet non payés et exigeaient une meilleure ambiance de travail. Leur employeur leur a assuré que dès maintenant, les heures de pré- et post-travail seraient payées, tout comme le temps de trajet.
Toutes ces personnes s’engagent pour plus d’égalité dans le monde du travail, sous le slogan : « Salaire. Temps. Respect. ». Elles exigent entre autres un salaire minimum de 4000 francs par mois dans toute la Suisse et une couverture par des CCT dans les branches avec une forte proportion féminine dans les effectifs. Ces mesures doivent améliorer la situation des femmes qui se trouvent au bas de la structure des salaires et qui sont dans des métiers dits « typiquement féminins », donc souvent mal payés. Les femmes exigent aussi des investissements dans les crèches, les écoles en horaire continu, les soins à domicile et les offres de soins et d’assistance pour les personnes adultes qui en ont besoin, afin de décharger les femmes de ce travail de soutien et d’améliorer leurs perspectives sur le marché du travail, aussi bien sûr pour les postes à haute qualification.
L’inégalité salariale persistante doit enfin être éliminée, et ce, grâce à des analyses des salaires avec des contrôles et des sanctions. Et sur le lieu de travail, le sexisme n’est pas tolérable. Pour cela, il faut notamment une meilleure protection contre le licenciement en cas de maternité et de soins aux proches ainsi que des mesures efficaces contre le harcèlement sexuel au travail.
La Grève des femmes* et la question de l’égalité sont aussi omniprésentes ce vendredi à la Conférence de l’Organisation internationale du travail (OIT) à Genève. Cela s’est manifesté d’abord en couleur auprès des délégué-e-s, mais aussi dans les thématiques. Avec la lutte contre la violence et le harcèlement dans le monde du travail ainsi que contre les inégalités, deux thèmes principaux de la Grève des femmes* en Suisse sont aussi au cœur des débats de cette organisation onusienne. Son directeur général Guy Ryder a marqué d’un geste fort le début de cette journée de grève en invitant vendredi matin Marilia Agostino Mendes et Anja Dräger, deux femmes de la délégation syndicale suisse à la Conférence de l’OIT, à venir parler de la Grève des femmes*.
À 11h00, les cloches des églises ont retenti dans toute la Suisse. Au même moment, des milliers de femmes étaient à pied d’œuvre pour réaliser sur leur lieu de travail des actions pour attirer l’attention sur les revendications de la Grève des femmes*.
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Union syndicale suisse
14/06/2019
Schweizer Fleischverarbeitungsunternehmen erhalten Zulassung für Export nach China
Bundesrat Guy Parmelin, Vorsteher des Eidgenössischen Departements für Wirtschaft, Bildung und Forschung (WBF), hat am 14. Juni 2019 den chinesischen Vize-Minister Zhang Jiwen von der chinesischen Zollverwaltung (General Administration of Customs of China) zu einem Arbeitsbesuch in Bern empfangen. Gegenstand des Treffens waren der Export von Schweizer Schweinefleischprodukten nach China sowie die Vertiefung der technischen Zusammenarbeit.
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SECO - Secrétariat d'État à l'économie
14/06/2019
Des entreprises suisses de transformation de viande autorisées à exporter vers la Chine
Le 14 juin 2019, le conseiller fédéral Guy Parmelin, chef du Département fédéral de l’économie, de la formation et de la recherche (DEFR), a reçu Zhang Jiwen, vice-ministre de l’administration douanière chinoise (General Administration of Customs), lors d’une visite de travail à Berne. La rencontre a porté sur l’exportation de produits suisses à base de viande de porc vers la Chine et sur le renforcement de la coopération technique.
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SECO - Secrétariat d'État à l'économie
14/06/2019
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