Agenda des manifestations et actualités
Archives
Initiative «Für ein Verbot der Finanzierung von Kriegsmaterialproduzenten»: Bundesrat empfiehlt Ablehnung
Der Bundesrat hat am 14. Juni 2019 die Botschaft zur Volksinitiative «Für ein Verbot der Finanzierung von Kriegsmaterialproduzenten» verabschiedet. Er empfiehlt die Initiative zur Ablehnung. Der von der Initiative verfolgte Ansatz sowie die vorgesehenen Massnahmen werden vom Bundesrat als nicht zielführend beurteilt. Zudem hätte das Finanzierungsverbot negative Auswirkungen auf die Tätigkeit der Nationalbank, von Stiftungen und Pensionskassen sowie auf die AHV/IV/EO, die alle unverhältnismässig stark betroffen wären. Darüber hinaus stellt die Initiative generell den Finanzplatz Schweiz in Frage und schwächt die Schweizer MEM-Industrie.
Institution partenaire
SECO - Secrétariat d'État à l'économie
14/06/2019
Le Conseil fédéral recommande le rejet de l’initiative « Pour une interdiction du financement des producteurs de matériel de guerre »
Le Conseil fédéral a approuvé, le 14 juin 2019, le message concernant l’initiative populaire « Pour une interdiction du financement des producteurs de matériel de guerre ». Il recommande le rejet de cette initiative, estimant que l’approche adoptée et les mesures envisagées ne sont pas efficaces. L’interdiction de financement aurait également pour la Suisse des retombées négatives qui affecteraient dans une mesure excessive l’activité de la Banque nationale suisse, des fondations, des caisses de pension et des fonds de compensation AVS/AI/APG. Enfin, l’initiative remet en question la place financière suisse et affaiblit l’industrie des machines, des équipements électriques et des métaux (industrie MEM).
Institution partenaire
SECO - Secrétariat d'État à l'économie
14/06/2019
Examen du 13 juin 2019 de la situation économique et monétaire
Institution partenaire
Banque nationale suisse
13/06/2019
Schwächere Weltkonjunktur bremst auch Schweizer Wirtschaft
Konjunkturprognosen der Expertengruppe des Bundes, Sommer 2019* - Die Expertengruppe erwartet für 2019 ein moderates BIP-Wachstum von 1,2 %. Die Abschwächung der Weltkonjunktur bremst den Schweizer Aussenhandel. Zudem belastet die grosse Unsicherheit die Investitionstätigkeit. 2020 sollte das Wirtschaftswachstum anziehen und auf 1,7 % steigen.
Institution partenaire
SECO - Secrétariat d'État à l'économie
13/06/2019
Le fléchissement de la conjoncture mondiale affecte également l’économie suisse
Prévisions conjoncturelles du Groupe d’experts de la Confédération , été 2019* - Le groupe d’experts table sur une croissance modérée de 1,2 % du PIB en 2019. Le fléchissement de l’économie mondiale freine le commerce extérieur suisse. De surcroît, le climat de grande incertitude qui règne actuellement pèse sur les investissements. La croissance économique devrait rebondir à 1,7 % en 2020.
Institution partenaire
SECO - Secrétariat d'État à l'économie
13/06/2019
Proches-aidants : les trop timides propositions du Conseil fédéral
Souvent, ce sont des proches qui s'occupent des personnes âgées ou dépendantes de soins. Cette responsabilité est difficilement conciliable avec une activité professionnelle. Récemment, le Conseil fédéral a adressé au Parlement des propositions à ce sujet. Les mesures présentées vont dans la bonne direction, mais les parlementaires doivent encore les améliorer.
Avec sa loi fédérale sur l'amélioration de la conciliation entre activité professionnelle et prise en charge de proches, le Conseil fédéral propose des améliorations dont le besoin se faisait cruellement sentir. De fait, ce sont souvent des proches, dans la majorité des cas des femmes, qui prennent en charge des membres de la famille dépendants de soins et/ou âgés. La revendication de l'Union syndicale suisse (USS), selon laquelle les services de soins et de prise en charge en cas de besoin doivent être abordables pour tout le monde et de qualité, n'est de loin pas encore devenue réalité. Dans ce domaine, les pouvoirs publics doivent assumer une bien plus grande responsabilité. Souvent, ce sont des belles-filles, des compagnes, des sœurs qui viennent à la rescousse lorsque qu'un-e de leurs proches a besoin de soins ou d'être pris en charge ; et cela, trop souvent au détriment de leurs propres revenus professionnels. Ces personnes ont de toute urgence besoin d'être aidées afin que leur engagement ne porte pas atteinte à leur santé et n'entraîne pas, pour elles-mêmes, des conséquences financières fâcheuses.
Le Conseil fédéral a transmis au Parlement le projet de loi, qui est accueilli favorablement par la majorité des participants à la consultation. Concrètement, il propose que non seulement les parents d'enfants mineurs, mais aussi tous les travailleurs et travailleuses aient le droit, si un-e proche est malade, de quitter rapidement leur travail sans devoir renoncer à leur salaire. Mais les trois jours par cas prévus par le Conseil fédéral ne sont pas suffisants. Et la limite maximale de dix jours par an est l'expression d'une soumission inutile face aux organisations patronales qui avaient refusé le projet lors de la consultation.
Pas pour la prise en charge d'adultes
Le Conseil fédéral veut aussi que les parents d'enfants gravement malades ou accidentés puissent prendre un congé payé de 14 semaines au plus. Cette mesure soulagera grandement la situation des familles concernées, même si 14 semaines ne suffiront pas dans de nombreux cas. L'USS salue aussi le fait que ce congé pourra être pris sous forme de jours séparés, comme suggéré lors de la consultation. Cette manière souple de procéder permettra aux parents de mieux répartir les jours de congé sur le délai-cadre - trop court - de 18 mois. En revanche, il est choquant que la protection contre le licenciement ne dure que 6 mois, et non les 18 mois du délai-cadre. Il est urgent de corriger cela. En outre, le Conseil fédéral renonce malheureusement à prévoir des congés de longue durée pour la prise en charge de proches adultes. Ainsi, des travailleurs et travailleuses en fin de carrière continueront de se voir poussés à quitter plus tôt la vie professionnelle parce qu'ils doivent assumer la responsabilité de leurs parents âgés.
La troisième amélioration sur laquelle le Parlement va se prononcer concerne les bonifications pour tâches d'assistances de l'AVS. À l'avenir, une personne qui s'occupe de proches au bénéfice d'une allocation pour impotence faible (avant : moyenne) y aura également droit. Ce droit sera étendu aux concubins, le critère de conjoint ou de parenté n'étant plus appliqué. Il s'agit là d'un pas important vers une diminution du risque de pauvreté de proches aidants. On ne comprend par contre pas pourquoi le Conseil fédéral n'a pas repris les améliorations proposées par l'USS lors de la consultation : renoncer à mettre sur pied d'égalité le partenariat enregistré et le mariage est sans rapport avec la réalité sociale ; ce point doit absolument être corrigé. Et la définition du partenariat de vie en tant que ménage commun existant depuis au moins cinq ans est par trop rigide. L'USS est d'avis que deux années et/ou un enfant en commun suffisent largement pour attester de l'existence d'un partenariat de vie.
L'USS appelle les Chambres fédérales à rapidement adopter ces améliorations importantes et à procéder aux corrections du projet du Conseil fédéral qui s'imposent. Les personnes qui prennent en charge le bien-être d'autrui méritent que l'État et la société assument aussi la responsabilité de leur bien-être. Il appartient aux politiques de mettre cela en œuvre.
Institution partenaire
Union syndicale suisse
11/06/2019
Protection contre le licenciement : des progrès sont indispensables, sinon la pression des syndicats restera forte à l’OIT
Le conseiller fédéral Guy Parmelin, en charge de l'économie, a montré sa volonté d'enfin améliorer la protection contre les licenciements abusifs pour les salarié-e-s engagés au plan syndical. Il entend maintenant mener une médiation entre patronat et syndicats en impliquant les experts de l'Organisation internationale du travail (OIT). Objectif : élaborer d'ici douze mois des propositions de solutions qui permettraient d'élever le niveau de protection contre le licenciement pour le rendre conforme aux conventions de l'OIT. Sur la base de cette proposition de M. Parmelin, l'Union syndicale suisse (USS) a approuvé aujourd'hui le retrait de la Suisse de la liste noire des pays accusés de violations de la liberté syndicale.
Peu avant la conférence de l'OIT, qui, à l'occasion du 100e anniversaire de son existence, est présidée par l'ambassadeur suisse Jean-Jacques Elmiger, la Suisse a été placée sur une liste noire de pays qui violent les conventions de l'organisation en la matière, conventions qu'elle a pourtant ratifiées. Mardi, le Comité de la liberté syndicale de l'OIT a décidé, sur proposition de la délégation suisse, de retirer la Suisse de cette liste.
L'USS a approuvé cette décision, car elle y voit une vraie opportunité d'adapter enfin le droit suisse en cas de licenciement aux normes internationales. En 2003 déjà, l'USS avait déposé une plainte contre la Suisse pour non-respect des conventions ratifiées. Depuis, la Suisse s'est vue régulièrement réprimandée par l'OIT. Mais le Conseil fédéral a refusé de mettre en œuvre les recommandations de l'OIT. Il a toujours suivi les milieux patronaux suisses qui rejettent catégoriquement une meilleure protection contre le licenciement pour les membres des commissions de personnel, des Conseils de fondations de caisses de pension ainsi que des autres salarié-e-s engagés au plan syndical. Aujourd'hui, le conseiller fédéral Guy Parmelin s'est engagé à mettre en place d'ici peu une médiation externe qui aidera le patronat et les syndicats à élaborer des propositions de solutions pour une meilleure protection des salarié-e-s. Si cette démarche n'apporte aucune amélioration concrète, l'USS remettra la pression sur la Suisse par le bais de l'OIT. Les syndicats ont recensé récemment de nombreux cas de licenciements abusifs antisyndicaux.
"Un travail important a déjà été effectué dans ce domaine. Il y a des expertises, et des discussions ont déjà eu lieu par le passé. Le changement de cap de M. Parmelin est une bonne nouvelle, tout comme le sont les signes que le patronat veut trouver des solutions à ce problème, sans œillères et en toute bonne foi. Ce genre de licenciements abusifs a déjà détruit de nombreuses carrières et vies de salarié-e-s. Il est inadmissible que la Suisse ne tienne pas ses engagements de droit international. Nous veillerons de près à ce que le Conseil fédéral respecte ses obligations en matière de droit international", déclare Pierre-Yves Maillard, président de l'USS.
L'année prochaine, la Suisse rendra à l'OIT un rapport sur les résultats de la médiation. Par ailleurs, elle se soumettra volontairement à un examen extraordinaire par l'OIT en ce qui concerne le respect de la liberté syndicale. L'USS accompagnera ce processus.
Institution partenaire
Union syndicale suisse
11/06/2019
Données importantes de politique monétaire pour la semaine se terminant le 7 juin 2019
Institution partenaire
Banque nationale suisse
11/06/2019
Jahresbericht 2018 zur internationalen Zusammenarbeit: Engagement für nachhaltige Entwicklung und ein stabiles internationales Umfeld
2018 lebten 700 Millionen Menschen in extremer Armut. 70 Millionen waren auf der Flucht. Die Schweiz engagiert sich für die Bekämpfung von Armut, die Bewältigung von globalen Herausforderungen wie dem Klimawandel und für Frieden und Menschenrechte. Damit leistet die Schweiz einen wichtigen Beitrag für nachhaltige Entwicklung und ein stabiles internationales Umfeld. Dies zeigt der Jahresbericht 2018 zur internationalen Zusammenarbeit, den die Eidgenössischen Departemente für auswärtige Angelegenheiten EDA und für Wirtschaft, Bildung und Forschung (WBF) heute publiziert haben.
Institution partenaire
SECO - Secrétariat d'État à l'économie
11/06/2019
Warnung vor Scheinrechnungen für Bürosoftware
Beim Staatssekretariat für Wirtschaft (SECO) gehen wieder Meldungen wegen vermeintlicher Rechnungen für Bestellungen von Softwarepaketen ein. Die Rechnungen werden per Post an Unternehmen und Institutionen in der Schweiz verschickt, ohne dass diese einen entsprechenden Auftrag gegeben hatten.
Institution partenaire
SECO - Secrétariat d'État à l'économie
11/06/2019
Seiten
Le portail de l'information économique suisse
© 2016 Infonet Economy