Agenda des manifestations et actualités

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Invitation à un point de presse : La Suisse est-elle face à une récession ?

Eric Scheidegger, chef de la Direction de la politique économique du Secrétariat d’État à l’économie (SECO), et Philippe Küttel, chef de la section Comptes nationaux de l’Office fédéral de la statistique (OFS), commenteront le 5 septembre 2019 les chiffres actuels du PIB et la situation conjoncturelle. Ils expliqueront également l’influence des événements sportifs internationaux sur le PIB de la Suisse.

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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02/09/2019

Victoire d’étape des syndicats contre l’allongement du temps de travail

La résistance des syndicats et des médecins du travail contre l’allongement du temps de travail porte enfin concrètement ses fruits : la Commission de l’économie du Conseil des États (CER-E) a recommandé vendredi le classement de l’initiative parlementaire de l’ancienne conseillère aux États Karin Keller-Sutter. En faisant cela, la commission admet que ses projets d’une dérégulation de grande ampleur de la loi sur le travail sont inappropriés. L’initiative exigeait l’abandon, dans une large mesure, de l’enregistrement du temps de travail. Selon l’Enquête suisse sur la population active (ESPA), au moins 26 % des salarié-e-s auraient été touchés. On les aurait tout simplement privés de l’outil qui permet de vérifier si les durées maximales de travail sont respectées et si des heures supplémentaires sont effectuées. Il est grand temps que le Conseil des États suive la commission et enterre ce démantèlement de la protection des salarié-e-s.

Mais l’étape d’aujourd’hui ne suffit pas, loin s’en faut. La commission doit encore abandonner le projet d’augmenter la durée hebdomadaire maximale de travail et de continuer d’affaiblir l’interdiction du travail du dimanche. Ces mesures envisagées proviennent d’une initiative du conseiller aux États Konrad Graber. Alors que des études démontrent l’augmentation constante du stress au travail et que les personnes en burnout sont de plus en plus nombreuses, il faut viser plus de protection des salarié-e-s, et non moins comme semble toujours l’envisager la CER. Le Conseil des États serait bien avisé de tenir enfin compte de l’opposition des syndicats, des médecins du travail, des Églises et des cantons et de rejeter également ce projet de loi. Si le Parlement devait maintenir le projet, les syndicats le combattraient par tous les moyens.

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Union syndicale suisse

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30/08/2019

Faszinierende Einblicke in die Welt der Wissenschaft

Die diesjährige Ausgabe der Scientifica gibt vom 30. August bis am 1. September 2019 unter dem Motto «Science Fiction - Science Facts» spannende Einblicke in die Welt der Wissenschaft und Forschung.

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Université de Zürich - Faculté des sciences économiques

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29/08/2019

Renforcer la diversité journalistique, mais pas faire des cadeaux !

L’Union syndicale suisse (USS) salue l’intention du Conseil fédéral de renforcer le soutien accordé aux médias du pays. Mais les mesures à cet effet doivent aider à préserver la diversité journalistique en ne pas être un cadeau pour les entreprises de médias générant d’importants chiffres d’affaires comme tamedia, Ringier et NZZ-CH Media !

Pour l’USS, il est clair que seules doivent bénéficier d’un encouragement pour leurs offres les entreprises de médias soumises à une CCT qui garantit l’indépendance de leur rédaction et des bonnes conditions de travail aux personnes actives dans ce secteur. Désormais, les entreprises qui veulent être soutenues devront prouver qu’elles s’engagent pour la diversité journalistique et une couverture médiatique de grande qualité. Un transfert des bénéfices à des privés, dans les secteurs encouragés, doit être interdit.

Aujourd’hui, le marché des médias est contrôlé en Suisse par encore quatre entreprises de médias. Et toutes misent sur la même stratégie : rédactions centrales, suppressions d’emplois et pages communes. La diversité journalistique est en train de rapidement disparaitre, une évolution qui menace le système de la démocratie directe de la Suisse.

L’USS est soulagée de voir que le Département fédéral de l’environnement, des transports, de l’énergie et de la communication (DETEC), placé sous la direction de la conseillère fédérale Simonetta Somaruga, propose maintenant des mesures pragmatiques et rapidement réalisables, et renonce à une nouvelle loi sur les médias. En raison de la chute des recettes publicitaires de la TV, il est juste de ne pas plafonner la redevance versée pour la SSR. La plus importante entreprise de médias de service public fournit de fait une contribution indispensable à la fourniture d’informations et de contenus culturels à la population et ne doit précisément pas être affaiblie aujourd’hui.

L’augmentation de 20 millions de francs envisagée par la conseillère fédérale du rabais sur la distribution postale ne suffira cependant pas pour réellement alléger la charge des petits journaux indépendants. Et si le plafonnement du tirage actuellement en vigueur devrait être levé pour les grands journaux et les têtières, la diversité journalistique ne s’en trouvera pas soutenue.

L’aide financière des offres en ligne est nécessaire et urgente, et l’USS s’en félicite, car ce canal est devenu essentiel pour le journalisme d’information. Mais ici aussi, les conventions collectives de travail existantes, la qualité de la couverture médiatique et l’indépendance rédactionnelle sont les critères sur lesquels l’encouragement doit s’orienter. Et pas la question de l’existence d’un « paywall » (péage de lecture numérique).

Les entreprises de médias sont désormais invitées à investir dans la qualité journalistique et à arrêter de supprimer des emplois dans les rédactions. Cela s’applique précisément aux quatre entreprises qui contrôlent actuellement le marché suisse des médias. L’USS espère que la Suisse alémanique et le Tessin auront enfin à nouveau une convention collective de travail (CCT) garantissant des salaires et des honoraires. Il est plus que temps que les éditeurs reconnaissent le partenariat social !

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Union syndicale suisse

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28/08/2019

Le Parlement doit se focaliser sur le montant des rentes – L’USS rejette le relèvement de l’âge de la retraite des femmes

L’Union syndicale suisse (USS) estime que le message du Conseil fédéral sur la réforme AVS 21 n’est pas convaincant. Au futur nouveau Parlement de le retravailler. D’une part, une réforme de l’AVS n’a de chance de trouver une majorité des citoyen-ne-s que si elle prend le montant des rentes pour point de départ. Le compromis proposé par les partenaires sociaux pour la prévoyance professionnelle est certes en mesure de stabiliser les rentes en baisse du 2e pilier, mais l’AVS a, elle aussi, un besoin urgent que des mesures soient prises. Il n’y a de fait plus eu aucune hausse des rentes AVS depuis plus de 40 ans. Les adaptations faites sur la base de l’indice mixte ne tiennent qu’insuffisamment compte de l’évolution des salaires. C’est pourquoi les rentes AVS perdent toujours plus de leur valeur ; et cela, alors que les coûts de la santé augmentent massivement. C’est pour cela que l’USS a décidé de lancer une initiative pour une 13e rente AVS, car c’est la seule manière pour que l’AVS remplisse sa fonction : garantir une vieillesse dans la dignité.

D’un autre côté, l’USS rejette clairement le relèvement prévu de l’âge de la retraite des femmes. Car la stabilité financière de l’AVS est aussi une de ses revendications. Qu’en plus, ce relèvement doive se faire principalement sur le dos des femmes n’est pas convaincant. La situation sur le marché de l’emploi des travailleuses âgées est toujours insatisfaisante : plus de la moitié des femmes interrompent leurs activités professionnelles avant d’être arrivées à l’âge ordinaire de la retraite ; nombre des salarié-e-s âgées ont des faibles taux d’occupation, alors qu’elles aimeraient bien travailler plus. Selon les chiffres de l’Office fédéral de la statistique, les femmes souffrent trois fois et demie plus du sous-emploi que les hommes. Les rentes des femmes aussi sont, dans une mesure inacceptable, beaucoup plus basses que celles des hommes : selon la statistique 2017 des nouvelles rentes, les hommes qui ont pris leur retraite en 2017 ont reçu des prestations du 2e pilier presque deux fois plus élevées que les femmes pendant la même année. Les rentes des femmes sont souvent si basses qu’elles ne leur permettent pas de vivre décemment une fois à la retraite. C’est pourquoi on a besoin que de vrais progrès soient accomplis en matière d’égalité des sexes, et pas d’un égalitarisme de façade concernant l’âge de la retraite. La grande mobilisation lors de la Grève des femmes* de cette année le souligne aussi.

L’USS est persuadée que la Suisse, toujours plus riche, peut et doit se permettre une prévoyance vieillesse solidaire, reposant sur un financement solide. C’est ce que prescrit la Constitution fédérale et c’est également là une question de respect pour les travailleurs et travailleuses concernés qui ont contribué de manière déterminante aux performances de l’économie et à ce qui est l’aménagement actuel d’une AVS sociale.

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Union syndicale suisse

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28/08/2019

Bundesrat verzichtet auf vereinfachte Genehmigung von Freihandelsabkommen

Der Bundesrat hat am 28. August beschlossen, auf die Ausarbeitung einer Botschaft zum Bundesgesetz über die Genehmigung von Freihandelsabkommen zu verzichten. Diesen Entscheid fasste er nach Auswertung der Vernehmlassung. Das Gesetz hätte bei Standardabkommen die Genehmigung per einfachem Bundesbeschluss ohne Unterstellung unter das fakultative Staatsvertragsreferendum vorgesehen.

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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28/08/2019

Le Conseil fédéral renonce à simplifier l’approbation des accords de libre-échange

Après avoir pris connaissance des résultats de la consultation, le Conseil fédéral a décidé, le 28 août 2019, de ne pas établir de message concernant la loi fédérale sur l’approbation des accords de libre-échange. La loi prévoyait que les accords « standard » soient approuvés par arrêté fédéral simple, autrement dit qu’ils ne soient plus assujettis au référendum facultatif applicable aux traités internationaux.

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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28/08/2019

Freihandelsabkommen EFTA-Mercosur: Einigung in der Substanz

Die EFTA- und Mercosur-Staaten haben ihre Verhandlungen über ein Freihandelsabkommen am 23. August in Buenos Aires in der Substanz abgeschlossen. Mit dem Abkommen werden mittelfristig rund 95 Prozent der schweizerischen Ausfuhren in die Mercosur-Staaten Argentinien, Brasilien, Paraguay und Uruguay mit insgesamt 260 Millionen Einwohnern zollbefreit. Zudem werden technische Handelshemmnisse abgebaut, der Marktzugang für schweizerische Dienstleistungserbringer erleichtert und die bilateralen Wirtschaftsbeziehungen generell gestärkt. Das Abkommen verhindert auch eine Schlechterstellung gegenüber der EU, welche im Sommer ebenfalls ein Freihandelsabkommen mit den Mercosur-Staaten abgeschlossen hat.

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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24/08/2019

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