Travail et emploi

Gönnen Sie sich Luxus: Fokus und Konzentration

Erstakademiker und die Überwindung von Bildungshürden

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Welche praktischen Probleme haben „Arbeiterkinder“, wenn es darum geht, ein Studium aufzunehmen und selbstbewusst in das Berufsleben zu starten? Vor welchen Herausforderungen stehen sie? Wie ist die Situation von Erstakademiker in Deutschland zu beurteilen?

Des améliorations de rentes sont nécessaires

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L'analyse de la votation sur Prévoyance 2020 confirme que le projet a échoué pour de nombreuses raisons, dont beaucoup sont liées au sentiment d'être concerné. Les rentières et rentiers ont davantage que la moyenne refusé la réforme de la prévoyance vieillesse. Une grande partie de ce groupe a visiblement voté non, parce que contrairement aux nouveaux rentiers et rentières il n'aurait pas touché d'augmentation AVS. Pas étonnant que les primes maladies et les coûts de la santé ne cessent d'augmenter! C'est aussi ce que montre l'examen des arguments de vote: plus d'une personne sur trois évoquant le supplément AVS comme raison d'avoir voté non l'a fait avec l'argument supplémentaire que cette mesure est injuste envers les rentiers et rentières actuels.

L'élévation de l'âge de la retraite des femmes aussi a joué un rôle décisif dans le refus. Certes au niveau suisse, les femmes n'ont pas été beaucoup plus nombreuses que les hommes à rejeter le projet, mais en Suisse romande l'âge de la retraite des femmes à 65 ans est clairement l'argument du non le plus souvent cité. Cet argument a été décisif dans le refus de Vaud et Genève.

L'analyse du vote montre que la situation financière des personnes à bas revenus et rentes moyennes ainsi que l'âge de la retraite des femmes dans la nouvelle version de la réforme ont joué un rôle important. Qui (comme l'employeur) dénonce un projet comme étant antisocial lors de la campagne de votation (message de l'affiche: "Punir les rentiers") et le supplément manquant pour les rentières et rentiers actuels, doit être conséquent et prendre en compte l'exigence d'améliorations dans l'AVS. Les rentes AVS futures doivent notamment prendre en compte l'explosion des primes maladie. La votation montre en outre que les projets unilatéraux de démantèlement n'ont aucune chance: ils auraient été encore plus fortement rejetés que Prévoyance 2020.

Renseignements
  • Doris Bianchi, secrétaire dirigeante de l'USS, 076 564 67 67
  • Thomas Zimmermann, responsable de la communication, 079 249 59 74

Besoin urgent de rentes plus élevées: encore et toujours !

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Lorsque les primes de l’assurance-maladie prennent l’ascenseur, les rentes AVS ne peuvent pas rester au sous-sol. Les délégué(e)s de l’USS ont donc exigé une augmentation des rentes AVS lors de leur assemblée du 3 novembre. Dans le deuxième pilier, il ne faut plus pouvoir réaliser de profits.  

Le rejet du projet Prévoyance vieillesse 2020 a ruiné les chances de voir enfin une augmentation des rentes AVS. L’âge de la retraite des femmes est certes resté à 64 ans, mais de nombreux problèmes ne sont pas réglés et vont s’aggraver si rien n’est fait.

Les problèmes subsistent

Ainsi les primes de l’assurance-maladie et les autres dépenses de santé accaparent une partie toujours plus grande des rentes AVS. Les nouvelles rentes du deuxième pilier sont mises sous pression à cause de taux d’intérêt toujours bas, mais aussi parce que les banques et les assurances écument cette assurance à leur profit. Lorsque l’on ne trouve plus d’emploi à la fin de sa carrière professionnelle, on perd dans la plupart des cas le droit à la rente de sa dernière caisse de pension. De très nombreuses femmes ont des rentes modiques, voire médiocres. Pour ne pas aggraver ses déficits, l’AVS devra bénéficier de ressources supplémentaires ces prochaines années. Il faut que la nouvelle réforme de la prévoyance vieillesse résolve ces problèmes. Ce n’est qu’ensuite que les rentes de la prévoyance vieillesse pourront répondre à l’exigence constitutionnelle de maintenir « de manière appropriée son niveau de vie antérieur ».

C’est pourquoi, dans la perspective de la nouvelle réforme de la prévoyance vieillesse, l’Assemblée des délégué(e)s de l’USS du 3 novembre a décidé d’un paquet de mesures destinées d’une part à mettre la question du niveau des rentes au premier plan et d’autre part à réfréner la recherche de profits dans le deuxième pilier.

Les primes de l’assurance-maladie accaparent de plus en plus les rentes

A la retraite, le poste de la santé pèse particulièrement lourd dans le budget. Les primes de l’assurance-maladie et les dépenses de santé grimpent bien plus fortement que les rentes AVS. Les ménages de retraité(e)s disposent en conséquence de moins en moins de ressources de l’AVS pour répondre aux autres frais de subsistance. Dans ces vingt dernières années, les primes de l’assurance-maladie ont plus que doublé (+ 228 %). Durant la même période, la rente AVS moyenne a aussi augmenté, mais de 21 % environ, et n’a donc pas suivi le rythme des primes. La différence explique pourquoi une partie de plus en plus importante de la rente AVS sert à payer ces primes. S’y ajoutent les franchises, la quote-part et les dépenses de santé que les caisses-maladie ne couvrent pas.

Des rentes plus hautes permettraient un rééquilibrage. Le secrétariat de l’USS étudiera et développera dans le courant de l’année prochaine des solutions concrètes pour réaliser cette revendication. 

Améliorer le niveau des rentes des femmes

La situation de la rente des femmes est aussi restée au cœur des préoccupations. Car dans les prochaines décennies, les travailleuses qui partiront à la retraite auront certes été plus actives professionnellement que la génération précédante, mais n’en auront pas moins une mauvaise couverture de leurs besoins. En effet, elles auront été le plus souvent employées à temps partiel, auront connu des interruptions de carrière pour cause de charges familiales et dû accepter des salaires trop bas. Une dégradation du niveau des prestations à travers l’élévation de l’âge de la retraite des femmes, comme le proposent les employeurs et les partis bourgeois, ne peut donc être acceptée. Au contraire, il faudra améliorer le niveau des rentes des femmes.

Des cotisations plus élevées

Le non au financement additionnel de l’AVS a supprimé des moyens dont elle avait besoin pour sa stabilité financière. Sans nouvelles ressources, des déficits apparaîtront dans l’AVS ces prochaines années. L’Assemblée des délégué(e)s estime qu’il faut l’éviter. Elle demande donc que la stabilisation des finances de l’AVS s’effectue par le biais d’une augmentation des cotisations salariales.

Pas de profits dans le deuxième pilier

Malgré le rejet de la réforme de la prévoyance vieillesse, les rentes des caisses de pensions sont mises sous pression. La baisse du taux de conversion est à l’ordre du jour de la plupart des caisses. Pour remédier à la baisse des rentes qui en découle, de nombreux assuré(e)s doivent épargner plus, en cotisant davantage ou plus longtemps. En même temps, le deuxième pilier reste une affaire lucrative pour les banques et les assurances. L’Assemblée des délégué(e)s de l’USS a donc demandé qu’une campagne syndicale soit menée contre les profits dans le deuxième pilier. Car des entreprises à la recherche de profits ne doivent pas pouvoir s’enrichir sur le dos d’une assurance sociale.

Egalité salariale: Une loi qui ait plus de mordant

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Les délégué(e)s de l'USS estiment qu'il faut rendre la loi sur l'égalité plus incisive. Alors seulement, l'égalité salariale pourra être efficacement soutenue.

Plus de 20 ans après l'entrée en vigueur de la loi sur l'égalité, les médias ne semblent plus s'offusquer qu'elle ne soit pas respectée. Ils ne considèrent qu'il ne vaut même plus la peine d'en parler. Ce n'est pas le cas des délégué(e)s de l'USS : ils ont lors de leur assemblée du 3 novembre 2017 décidé d'enfin mettre un terme à ce scandale qui perdure. Ils saisissent l'occasion de la révision actuelle de la loi sur l'égalité pour exiger des procédures définitivement plus incisives contre les discriminations salariale.

Un tout petit premier pas

La révision grâce à laquelle le Conseil fédéral veut inviter les entreprises à contrôler leurs salaires, est faible. Elle représente toutefois un petit pas dans la bonne direction. On doit d'ailleurs ce petit pas aux syndicats, aux femmes syndiquées surtout, comme ce fut le cas pour l'introduction de la loi sur l'égalité en 1996. Sans nous, sans notre engagement, sans notre travail de persuasion, auprès du Conseil fédéral également, les entreprises pourraient continuer à choisir librement si elles respectent le mandat constitutionnel ou pas. Au gré des humeurs et de la conjoncture. Elles devront désormais au moins s'en préoccuper. Les analyses régulières donneraient la possibilité aux entreprises ouvertes à l'égalité de corriger leur système salarial et d'adapter les salaires des femmes à ceux des hommes. Et contrairement aux dires d'organisations patronales et de politiciens bourgeois, beaucoup d'entreprises sont prêtes à le faire : selon un sondage réalisé en 2015, la moitié des entreprises accepteraient des mesures étatiques à cet égard, un quart les salueraient même. Les délégué(e)s de l'USS veulent aussi que ce tout petit pas vers l'égalité salariale soit fait et soutiennent le projet.

Une autorité habilitée à faire des contrôles...

Toutefois, les délégué(e)s de l'USS n'estiment pas que ce soit suffisant : les patrons qui ne veulent pas qu'on mette le nez dans la manière dont ils fixent les salaires, ceux qui paient moins les femmes parce qu'elles n'apportent qu'un salaire d'appoint et ceux qui partent du principe que les femmes fournissent moins de prestations que les hommes doivent être soumis à la loi. Quand la loi sur l'égalité en était encore au stade de projet, il était clair que l'Etat devait aussi assumer des responsabilités. Une autorité habilitée à contrôler et à sanctionner était déjà prévue, mais le Parlement l'avait ensuite supprimée. Elle reste nécessaire, comme les évaluations et les enquêtes le montrent régulièrement.

... et à sanctionner

Les délégué(e)s de l'USS exigent donc que la responsabilité de mettre en œuvre la loi sur l'égalité ne soit plus du seul ressort des entreprises et des femmes. Il faut plutôt instaurer une autorité qui puisse contrôler par sondages et sur demande des employé(e)s et de leurs représentant(e)s si les entreprises analysent leurs salaires et suppriment les discriminations. Et si cela ne devait pas être le cas, cette autorité doit aussi pouvoir prononcer des sanctions. Ce n'est qu'ainsi que nous pouvons arriver à rendre la lutte contre les discriminations suffisamment contraignante. Les syndicats exigent en outre d'être davantage impliqués dans la mise en œuvre de la loi, comme le projet de loi le prévoit.

Le réveil doit sonner

L'USS va lutter pour cette amélioration dans la société et au Parlement. Un mouvement fort et uni de syndicats et de femmes doit réveiller la politique et les médias afin que le scandale rampant des discriminations salariales ne continue pas à infester la société, mais, au contraire, soit fermement éradiqué. Les délégué(e)s de l'USS veulent rassembler les forces et tout mettre en œuvre pour que la révision de la loi puisse amener des améliorations. Une initiative, comme l'AD de mars l'avait demandée, serait alors prématurée. L'USS sera donc prête, si la révision de la loi devait échouer, à lancer au besoin une initiative.

L’USS combattra la loi de la jungle sur le lieu de travail

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L'Union suisse des Arts et Métiers (USAM) veut que les salarié(e)s travaillent plus longtemps et se reposent moins. Elle exige notamment que les temps de repos diminuent significativement et que la durée maximale de la semaine de travail augmente à 50 heures. L'USS luttera contre ces attaques de la protection des travailleurs et travailleuses avec tous les moyens à sa disposition.

Ce fut aujourd'hui au tour de l'USAM de faire entendre sa voix dans la masse presque inextricable de ceux qui veulent augmenter la durée du travail au nom de la flexibilité et supprimer radicalement la protection qu'apporte la loi sur le travail. " L'USS refuse catégoriquement cette nouvelle attaque des conditions de travail relativement réglées, après celles qui ont déjà touché l'enregistrement du temps de travail, déclare Luca Cirigliano de l'USS. La Suisse a déjà la durée du travail la plus longue d'Europe et est loin d'être un modèle sur la question des maladies causées par le travail.

Du point de vue de la conciliation entre vie professionnelle et privée, Luca Cirigliano considère les propositions de l'USAM comme complètement à contre-courant : " Les obligations familiales et de soins sont carrément occultées. Toutes ces propositions empêchent tout engagement vers davantage de conciliation. " Parallèlement, la proposition d'augmenter la durée maximale de la semaine de travail conduira à l'élimination d'indemnités légitimes.

L'USS combattra avec véhémence les propositions de l'USAM ainsi que toutes les revendications pour une durée du travail encore plus longue et flexible, pour la suppression des mesures de protection comme l'enregistrement du temps de travail ou pour le démantèlement du congé dominical.

Renseignements :
  • Luca Cirigliano, secrétaire central de l'USS, 076 335 61 97
  • Ewald Ackermann, Service de la communication de l'USS, 079 660 36 14

Changements personnels au sein du Secrétariat de l’USS

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La spécialiste des assurances sociales, Doris Bianchi, sera la future collaboratrice personnelle du Conseiller fédéral Alain Berset à partir de février 2018. Elle soutiendra le chef de l'OFAS en particulier sur les questions touchant à la politique de la santé et aux statistiques. Elle quitte l'USS à fin janvier après 12 ans au service de la faitière syndicale. Docteure en droit, Doris Bianchi était surtout responsable des sujets touchant aux assurances sociales. En 2011, elle était devenue secrétaire dirigeante de l'USS. L'USS remercie d'ores et déjà Doris Bianchi pour son remarquable travail et son énorme engagement. Elle lui adresse ses meilleurs vœux pour son avenir.

Début novembre, Isabel Martinez a pris ses fonctions à l'USS comme nouvelle secrétaire centrale à 60 % dans le domaine de l'économie. Elle a étudié l'économie à l'Université de St-Gall où elle a obtenu le titre de docteur en 2016. Elle a ensuite été chercheuse à l'" Institute of socio-economic research " au Luxembourg. Isabel Martinez continuera à faire de la recherche à l'Université de St-Gall en dehors de son travail à l'USS.

Renseignements :
  • Thomas Zimmermann, responsable de la communication, 079 249 59 74

Les primes-maladie dévorent les rentes – Plus d’AVS !

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Après le rejet de Prévoyance vieillesse 2020 (PV 2020), les délégué(e)s de l'USS ont analysé les défis à venir et adopté des revendications. Le rejet de PV 2020 laisse beaucoup de problèmes non résolus : l'AVS est sous-financée, les rentes du 2e pilier d'une grande partie de la population ne cessent de baisser, les femmes restent désavantagées dans le 2e pilier, les salarié(e)s âgés n'ont pas la garantie de toucher une rente du 2e pilier s'ils perdent leur emploi et le pouvoir d'achat des retraité(e)s diminue toujours plus à cause de la hausse continue des primes des caisses-maladie.

C'est pourquoi les délégué(e)s de l'USS formulent les revendications suivantes :

  • Les rentes AVS doivent être augmentées afin qu'elles puissent suivre le rythme des hausses des primes-maladie et des dépenses de santé.
  • L'AVS a besoin de moyens supplémentaires, avant tout sous la forme d'une hausse des cotisations salariales. L'AVS doit enfin profiter dans sa totalité de son pourcent de TVA.
  • Les banques et les assureurs ne doivent plus réaliser de bénéfices aux dépens des assuré(e)s avec le 2e pilier. L'USS va lancer une campagne à ce sujet.
  • La protection contre le licenciement doit être améliorée pour les travailleurs et travailleuses âgés depuis longtemps dans leur entreprise. En cas de perte de leur emploi à 58 ans et plus, ils doivent pouvoir rester dans leur dernière caisse de pensions. En outre, concernant la retraite anticipée, on a besoin de plus de solutions de branche.
  • L'âge de la retraite des femmes doit rester fixé à 64 ans.

Les délégué(e)s de l'USS ont également décidé d'accentuer la pression, dans le cadre de la révision en cours de la loi sur l'égalité entre femmes et hommes, pour des mesures efficaces aptes à éliminer l'inégalité salariale. Le mépris manifesté pour l'article constitutionnel sur l'égalité est un scandale qui dure depuis plus de 20 ans. Il faut d'urgence y mettre fin. Des contrôles par les autorités, des sanctions et une participation plus grande des syndicats sont nécessaires.

En adoptant à l'unanimité une résolution, les délégué(e)s ont fait savoir que l'USS combattra de toutes ses forces l'initiative " No Billag ". Cette dernière supprimera en effet le service public dans les médias, ce qui sera dommageable à la démocratie et la cohésion nationale. Les délégué(e)s de l'USS se sont en outre prononcés contre les projets de libéralisation du trafic grandes lignes et, dans une autre résolution, ont exigé des autorités marocaines qu'elles libèrent sans délai les syndicalistes et les prisonniers et prisonnières politiques incarcérés dans la région du Rif, et qu'elles entrent en matière sur leurs revendications sociales et économiques.

Renseignements :

  • Daniel Lampart, premier secrétaire de l'USS, 079 205 69 11
  • Doris Bianchi, secrétaire dirigeante de l'USS, responsable de la politique sociale, 076 564 67 67
  • Thomas Zimmermann, responsable de la communication de l'USS, 079 249 59 74

Trust Rocks! Aktives Vertrauen als Grundstein für das Gelingen der Neuen Arbeit

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In einer Welt, die durch ständigen Wandel gekennzeichnet ist, wird Vertrauen immer mehr zur Notwendigkeit. Denn Vertrauen schafft den Raum, den moderne Organisationsformen, die auf Selbstorganisation setzen, so dringend benötigen. Vertrauen speist den Mut Entscheidungen zu delegieren, Selbstverantwortung zu übernehmen und proaktiv den Wandel im Unternehmen zu gestalten. Vertrauen wirkt auch als Kitt in Teams, die sich zusehends häufiger neu zusammensetzen und mehr Heterogenität zum Wettbewerbsvorteil umsetzen müssen. Schliesslich stärkt Vertrauen auch die menschliche Resilienz und schafft somit Ressourcen, um mit der hohen Belastung, im neuen, anspruchsvollen Umfeld umzugehen.

In diesem Aufsatz beleuchten wir, wie Vertrauen entsteht und wie Akteure Vertrauen bewusst „anstossen“ können. Wir erweitern bisherige Vertrauensmodelle indem wir zeigen, dass Vertrauen mehr ist, als 'gute Gründe', die aus einer Kosten-Nutzenabwägung abgeleitet werden. Wir skizzieren an einem Fallbeispiel, wie Vertrauen als Bauch- und Herzentscheidung zum „Leap of Faith“ wird und wie Kulturarbeit, organisationale Regeln und Heuristiken diesen Vertrauenssprung ermöglichen.

Vertrauen bei Veränderungen: Weniger Kontrolle ist möglich

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