Changing environmental conditions introduce uncertainty into organizational operations, and airlines respond in various ways. Scholars traditionally explore responses to environmental uncertainty by drawing upon theories of communication networks, coordination, organizational resilience, and high reliability organizing. Yet, the research has competing communication predictions, which makes planning and designing organizational responses challenging, as the level and type of uncertainty changes over time. Research also does not address variations in responses across different groups of employees. Using longitudinal network data from the United Airlines operations tower in Newark Airport (USA), this research examines communication for the purpose of relational coordination in a dynamically adaptive organizational network. Results reveal different patterns of organizational communication as different employee groups (frontline, cross-functional boundary spanners, and managers) face varying conditions of uncertainty. This paper concludes with theoretical contributions and practical recommendations for managing complex communication networks to respond to dynamic conditions of uncertainty in the airline operations settings.
This study aims to analyze whether nursing homes residents are satisfied with the services and support they receive. Twenty-five semi-structured interviews with residents, families, and staff were conducted in Switzerland. The results indicate that the majority of the residents entered nursing homes due to a decrease in autonomy but also following a decision made by their relatives. Many of the residents acclimated themselves to their new environment although not all their needs were fulfilled. The need to maintain relationships with family and staff is crucial. The organization of activities is also necessary to residents’ stability and to ensure they continue to feel their existence has meaning and that they can still be useful. This also helps to ease the transition and ensure continuity between their home and nursing home facility. Staff and relatives work for the well-being of residents but should offer more individualized support and a more personalized welcome to their patients.
Why did lodging corporations opt for the asset light model in the first place and why did they adopt it at different times? The answer to such questions could not only help further explore the fundamental question in strategy of why do firms’ strategy differ, but also provide insights to managers as to the implications of such strategic choices on corporate performance. Built around three stages and three propositions, the theoretical model proposed in this article integrates constructs from the managerial capability, isomorphism literature, the resource-based view, and Transaction Cost Economics (TCE) to depict the triggers of vertical disintegration. This model underlies the dynamics of a highly significant phenomena in hospitality industry: the development of the asset light model.
This study examines the mechanism through which family supportive environments in organizations (i.e. family supportive supervisor behaviors and work-family friendly culture) relate to turnover intentions. In a sample of 340 individuals, analysis using structural equation modeling showed that satisfaction with work-family balance mediates the relation between family supportive environments in organizations and turnover intentions. Thus, family supportive environments in organizations facilitate greater satisfaction with work-family experiences, which, in turn, relates with lower intentions to leave the company. We discuss research and practical implications of this study.
Bien que les taxes environnementales soient un instrument efficient pour atteindre les objectifs des politiques climatique et énergétique, elles ne sont pas toujours socialement acceptées. Une crainte fréquente est que ces taxes pourraient avoir un effet régressif sur la distribution des revenus. Dans ce projet, nous analysons dès lors les impacts sociaux de ces taxes, ainsi que plusieurs options pour la redistribuer les recettes fiscales, de sorte à maximiser leur acceptabilité sociale et politique. Nos analyses se basent sur des simulations avec le modèle d’équilibre général GENESwIS et sur des données provenant de 1'200 réponses à une enquête nationale représentative, basée sur la méthode des choix discrets. L’objectif principal de l’enquête était de vérifier l’acceptation sociale de différents types de taxes carbone. Les participants à cette enquête étaient informés des conséquences de différentes taxes carbone sur les émissions, les inégalités sociales et la compétitivité des entreprises, effets qui ont été estimés par le modèle GENESwIS. Cette recherche originale a produit plusieurs résultats innovants et surprenants. En informant correctement les personnes enquêtées sur l’efficacité environnementale des taxes, on peut réduire leur demande d'affecter l’utilisation des recettes fiscales à la seule protection de l'environnement. De même, en présentant les impacts redistributifs des taxes, on augmente leurs préférences pour une restitution forfaitaire des recettes de la taxe. Une fois bien expliquée, cette option devient même la plus attractive pour les personnes ayant répondu à notre enquête. Combiner une distribution environnementale et forfaitaire des recettes de la taxe sur les émissions de carbone, comme cela est actuellement pratiqué en Suisse, paraît donc une option acceptable. Selon nos simulations, réserver une partie des recettes de la taxe pour une distribution forfaitaire suffit pour réduire les craintes émises quant aux conséquences sociales néfastes d'une taxe environnementale. Néanmoins, il reste difficile de concevoir, à grande échelle, une affection des recettes à la protection de l'environnement. De plus, réduire d'autres taxes grâce aux recettes de la taxe carbone semble plus efficient d'un point de vue économique. Comme ces arguments sont difficilement compréhensibles pour une majorité de citoyens, il semble encore et toujours plus aisé de légitimer une taxe carbone par ses impacts environnementaux.
La déclaration pays par pays voulue par l'OCDE pour favoriser la transparence fiscale des groupes multinationaux devrait être rendue obligatoire en Suisse vers 2018. Parce que les données concernées sont sensibles, il faut que les groupes travaillent dès maintenant pour prendre des décisions en amont et définir un processus de collecte, de validation et de gouvernance spécifique.
Les informations librement accessibles recèlent des potentiels encore en partie inexploités, qui intéressent toutes les parties prenantes. Mais les obstacles à leur utilisation sont nombreux car les indicateurs qui en résultent sont peu référencés et certains résultats sont encore relativisés par la problématique de la fiabilité et de la vérification des sources.