Agenda des manifestations et actualités

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Umsetzung des UNO-Pakts I: Prüfung des Schweizer Berichts

Die UNO hat am 1. und 2. Oktober 2019 in Genf die Umsetzung des Internationalen Paktes über wirtschaftliche, soziale und kulturelle Rechte durch die Schweiz geprüft.

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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02/10/2019

Mise en œuvre du Pacte I de l’ONU : Examen du rapport suisse

L’ONU a examiné la mise en œuvre par la Suisse du Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels les 1er et 2 octobre 2019 à Genève.

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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02/10/2019

Prof. David Hémous zum ausserordentlichen Professor ernannt

Prof. David Hémous wurde auf den 1. Oktober 2019 vom Universitätsrat zum ausserordentlichen Professor für Ökonomik der Innovation und des Unternehmertums ernannt. 

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Université de Zürich - Faculté des sciences économiques

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02/10/2019

Primes-maladie 2020 : pas que des bonnes nouvelles !

Comme on s'y attendait la hausse des primes-maladie pour l'année prochaine s'avère, selon les cantons, de modérée à faible. Enfin une bonne nouvelle, surtout pour les assuré-e-s. En effet, les hausses souvent massives des dernières années étaient en contradiction avec toute une série de mesures efficaces prises pour maîtriser les coûts. Mais cette annonce cache des choses moins réjouissantes : les inégalités restent criantes et le principe de solidarité est mis à mal.

Les caisses maladie ont enfin réagi et commencé à réduire les excédents de réserves pharamineux qu'elles avaient réussi à accumuler grâce aux primes. Et à les redistribuer aux assuré-e-s. Mais presque tout le monde s'accorde pour dire que ces primes 2020 sont bien plus une sorte d'accalmie passagère que l'annonce du début d'une tendance durable. Les prévisions des coûts pour les prochaines années sont en effet déjà reparties à la hausse (lire l'article à ce sujet).

Prime standard vs. prime moyenne

En y regardant de plus près, même l'annonce de cette semaine cache des choses moins réjouissantes : ainsi, la hausse moyenne de 0,3 % (adultes) publiée par l'OFSP se base pour la deuxième année consécutive sur la " prime moyenne ". Comme celle-ci résulte de la moyenne de tous les modèles d'assurance et de franchises à option, elle ne tient pas compte des désavantages que ces modèles comportent pour les assuré-e-s, en particulier une plus forte participation aux coûts qui peut vite, en cas de maladie, engloutir plusieurs fois la somme économisée par une faible hausse des primes. Si l'on prend, comme c'était le cas jusqu'en 2017, la prime standard (modèle de base, franchise de 300 francs), la hausse des primes pour 2020 se révèle nettement plus importante : +0,8 %. Aujourd'hui, près de 20 % des habitant-e-s sont encore assurés selon un modèle standard, et ce sont souvent des personnes qui ne peuvent pas se permettre, en raison de leur état de santé, de choisir des options comme une franchise élevée par exemple.

Le principe de solidarité déjà écorné

Même si les primes augmentent plus fortement précisément pour ces assuré-e-s, un " lobby d'experts " n'a pas pu s'empêcher, dès l'annonce des primes 2020, de réclamer à nouveau à grand bruit des rabais de primes plus importants en fonction des franchises à options. Et ils l'ont fait en ressortant un vieil argument déjà maintes fois ressassé : les " jeunes et les personnes en bonne santé " paient aujourd'hui beaucoup trop pour les " vieux et les malades ". Tout d'abord, cette affirmation est complètement fausse si l'on considère le problème dans son ensemble : aujourd'hui, une personne de 95 ans ne doit pas seulement assumer des primes qui sont en moyenne de 43 % plus élevées. Elle paie aussi en franchise et en participation aux coûts quelque 195 % de plus qu'une personne de 25 ans (sans parler des frais supplémentaires pour le home ou les soins à domicile, les taxes hospitalières, les médicaments, etc.).

Deuxièmement, c'est tout simplement la caractéristique de base d'une assurance que les personnes en bonne santé (respectivement les " malades potentiels ") contribuent au financement des personnes malades. Dans chaque assurance, il y aura toujours - ce n'est pas un scoop ! - un groupe de personnes qui paie davantage ou qui perçoit moins de prestations qu'un autre. Et c'est le cas tout particulièrement dans l'assurance de base LAMal. Mais c'était précisément la volonté politique que de fournir un approvisionnement de base en soins de santé pour tout le monde, sans discrimination. Troisièmement, il faut rappeler que les rabais de primes accordés actuellement pour les franchises à option sont de toute manière trop élevés au niveau actuariel, selon des calculs de l'OFSP. Autrement dit : ils permettent d'ores et déjà aux assuré-e-s en bonne santé de se soustraire en partie au principe de la solidarité financière dans l'assurance de base (" pool de risques uniforme ").

Différences frappantes entre les cantons

En plus des différences entre les groupes d'assuré-e-s, l'annonce des primes 2020 comprend aussi des écarts importants entre les cantons. Ainsi, les primes baissent de 1,5 % dans le canton de Lucerne, mais elles grimpent de 2,9 % à Neuchâtel ! Cette forte disparité est l'expression d'une organisation boiteuse de l'assurance de base, qui est mise en œuvre par le biais de plus de 50 caisses privées dans un total de 42 régions de primes. Cette fragmentation entraîne régulièrement des distorsions financières auxquelles les assuré-e-s se trouvent livrés de façon arbitraire et sans aucune alternative (sans même parler des changements de caisse, qui sont souvent des démarches fastidieuses et sans grands effets). Dans le canton de Neuchâtel par exemple, la principale raison de cette hausse de primes massive se trouve dans le fait que près de la moitié de la population de ce canton est assurée auprès de la caisse bon marché Assura. Celle-ci a calculé trop chichement ses réserves au cours des dernières années, contrairement à presque toutes les autres caisses. Elle se rattrape aujourd'hui par des hausses de primes.

L'exemple de Neuchâtel est on ne peut plus clair : avant que certains cantons ne se retrouvent otages de quelques rares caisses, voire d'une seule, ils devraient, si la population le souhaite, avoir la possibilité de créer eux-mêmes une caisse maladie cantonale. C'est précisément ce que le gouvernement vaudois a demandé récemment (une initiative cantonale est à prévoir aux Chambres fédérales). Cela permettrait d'en finir avec les variations des réserves. Mais surtout, on pourrait enfin investir efficacement dans la prévention et faire des économies dans les frais administratifs.

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Union syndicale suisse

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30/09/2019

Ernst Fehr und Dina Pomeranz sichern sich Spitzenplätze im Ökonomen-Ranking

Erst kürzlich wurde das Institut für Volkswirtschaftslehre erneut als forschungsstärkste Institution im Bereich Ökonomie im deutschen Sprachraum ausgezeichnet (zum News-Beitrag). Nun wurden Ernst Fehr und Dina Pomeranz auch auf Spitzenplätze des jährlichen «Ökonomen-Einfluss-Ranking» der NZZ gewählt.

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Université de Zürich - Faculté des sciences économiques

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30/09/2019

Inaugural lecture by Prof. Christoph Basten, 07.10.2019

You are warmly invited to the inaugural lecture of Prof. Christoph Basten about «Empirical Evaluations of Banking and its Regulation in Switzerland and beyond». The lecture is public, no reservation is needed.

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Université de Zürich - Faculté des sciences économiques

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30/09/2019

Enregistrement du temps de travail : Etude sur les nouvelles règles de 2016

Les personnes qui renoncent à enregistrer leur temps de travail ou qui effectuent un enregistrement simplifié travaillent plus longtemps et ont plus fréquemment des horaires atypiques. Du moment où leur entreprise introduit des mesures d’accompagnement, ils ne sont pas en moins bonne santé et ne sont pas davantage stressées que les personnes qui enregistrent systématiquement leur temps de travail. Ces résultats relèvent d’une étude de l’Université de Genève qui a évalué l’impact de ces mesures.

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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29/09/2019

Arbeitszeiterfassung: Studie zu den Auswirkungen der neuen Vorschriften von 2016

Personen, die auf die Erfassung ihrer Arbeitszeit verzichten oder die sich für eine vereinfachte Erfassung entscheiden, arbeiten länger und sind häufiger von atypischen Arbeitszeiten betroffen. Sofern in einem Unternehmen jedoch Begleitmassnahmen existieren, ist der Gesundheitszustand dieser Personen im Vergleich zu Arbeitnehmenden mit systematischer Arbeitszeiterfassung nicht weniger gut und sie sind auch nicht häufiger gestresst. Zu diesen Ergebnissen kommt eine Studie der Universität Genf, die die Auswirkungen dieser Massnahmen evaluiert hat.

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SECO - Secrétariat d'État à l'économie

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29/09/2019

Électricité : NON à une libéralisation à haut risque !

L'ouverture du marché de l'électricité proposée aujourd'hui par le Conseil fédéral ne nous rapproche pas d'un centimètre de la transition énergétique et elle met en danger la sécurité d'approvisionnement. Le gouvernement tente peut-être d'envoyer un signal à la Commission européenne avec cette libéralisation du marché de l'électricité. Mais pour l'approvisionnement en Suisse, le risque est grand ! L'Union syndicale suisse (USS) rejette l'ouverture complète du marché de l'électricité, sur la base des réflexions suivantes :

L'électricité est un bien indispensable pour la population et l'économie. Elle doit être disponible en tout temps, personne ne peut s'en passer. Il faut donc une coopération extrêmement fiable dans la branche et on doit pouvoir planifier à long terme la demande et l'offre, mais certainement pas faire de l'expérimentation sur les marchés ! La Suisse dispose aujourd'hui non seulement d'un approvisionnement très stable en électricité, mais également de prix modérés et stables. Les ménages paient depuis des années 21 centimes par kilowattheure en moyenne, soit moins que dans les pays voisins qui ont complètement libéralisé leur marché.

Le prix de l'électricité est composé des coûts du courant, des coûts du réseau et de taxes. Le prix du courant lui-même ne représente même pas 40 %, c'est-à-dire 8 centimes par kilowattheure. Ce n'est qu'à cette part du prix de l'électricité que le " libre marché " s'appliquerait, le reste demeurant soumis à régulation. Et à cause de ces 8 centimes, les ménages devraient choisir leur fournisseur d'électricité parmi 600 gestionnaires de réseaux de distribution et autres prestataires !

Cela ne fera ni avancer la transition énergétique ni renforcer la protection du climat. Et l'électricité n'en deviendra certainement pas moins chère, bien au contraire ! Tous les fournisseurs se mettront alors à dépenser des sommes énormes en marketing et en administration, de l'argent qui seraient bien plus utile ailleurs. La priorité aujourd'hui doit aller à la transition rapide vers une production d'électricité de sources renouvelables. Tout particulièrement en Suisse, que la topographie rend très vulnérable aux effets du réchauffement climatique. Des communautés d'énergie sont déjà possibles aujourd'hui. La structure actuelle du marché suisse de l'électricité a plus que fait ses preuves en termes de résistance aux crises. Il n'y a aucune raison de mettre cela en jeu !

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Union syndicale suisse

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27/09/2019

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