Agenda des manifestations et actualités
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Rapport intermédiaire de la Banque nationale suisseau 30 septembre 2019
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Banque nationale suisse
29/11/2019
La Banque nationale suisse ouvre les portes du Forum BNS à un public intéressé de spécialistes
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Banque nationale suisse
29/11/2019
Comptes financiers de la Suisse 2018
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Banque nationale suisse
29/11/2019
La BNS et la BRI signent un accord opérationnel relatif au centre suisse du hub d’innovation de la BRI
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Banque nationale suisse
29/11/2019
Bundesrat wählt Brigitta M. Gadient zur neuen Präsidentin von Schweiz Tourismus
Der Bundesrat hat am 27. November 2019 Brigitta M. Gadient zur neuen Präsidentin von Schweiz Tourismus gewählt. Sie wird ihr Amt am 1. Januar 2020 antreten. Für die Amtsperiode von 2020-2023 wurden auch die Vizepräsidentin und die vom Bundesrat gewählten Mitglieder des Vorstandes von Schweiz Tourismus bestimmt. Brigitta M. Gadient wird auf Antrag des Verwaltungsrates von Schweiz Tourismus auf Jean-François Roth folgen, welcher Schweiz Tourismus seit 2008 präsidiert hat und nach zwölf Jahren vom Amt zurücktritt.
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SECO - Secrétariat d'État à l'économie
29/11/2019
Bundesrat wählt Barbara Hayoz zur neuen Präsidentin der SERV
Der Bundesrat hat am 27. November 2019 Barbara Hayoz zur neuen Verwaltungsratspräsidentin der Schweizerischen Exportrisikoversicherung (SERV) gewählt. Sie wird ihr Amt am 1. Januar 2020 antreten. Hayoz war bis anhin Vizepräsidentin der SERV und tritt die Nachfolge von Thomas Daum an.
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SECO - Secrétariat d'État à l'économie
29/11/2019
Le Conseil fédéral nomme Brigitta M. Gadient à la présidence de Suisse Tourisme
Le 27 novembre 2019, le Conseil fédéral a nommé Brigitta M. Gadient à la présidence de Suisse Tourisme sur proposition du conseil d’administration. Elle prendra ses fonctions le 1er janvier 2020 et succède à Jean-François Roth, qui préside Suisse Tourisme depuis 2008 et se retire après douze années à ce poste. La vice-présidente et les membres nommés par le Conseil fédéral au comité de Suisse Tourisme ont également été désignés pour la période administrative 2020-2023.
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SECO - Secrétariat d'État à l'économie
29/11/2019
Le Conseil fédéral nomme Barbara Hayoz présidente de la SERV
Le 27 novembre 2019, le Conseil fédéral a nommé Barbara Hayoz présidente du conseil d’administration de l’Assurance suisse contre les risques à l’exportation (SERV). La nouvelle présidente entrera en fonctions le 1er janvier 2020. Actuellement vice-présidente de la SERV, Barbara Hayoz succédera à Thomas Daum.
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SECO - Secrétariat d'État à l'économie
29/11/2019
Le Conseil national peut et doit renforcer le domaine des soins
Selon l'OCDE, aucun pays occidental n'emploie autant de personnel infirmier formé à l'étranger que la Suisse : un quart de notre personnel infirmier possède un diplôme étranger, et plus du tiers est d'origine étrangère. La formation du personnel soignant en Suisse est donc largement financée par des pays étrangers et (plus pauvres), et notre pays contribue ainsi à la pénurie de personnel soignant en dehors de ses frontières. Ce qui n'a pas empêché l'aggravation de la pénurie de personnel de soins aussi chez nous. À terme, la demande en personnel infirmier formé ne cessera d'augmenter, en raison de l'évolution démographique.
Stress élevé, salaires trop bas
Dans ce contexte, le quotidien actuel des soins est préoccupant : depuis des années, la concurrence entre les hôpitaux et les homes déclenchée par le nouveau financement hospitalier et des soins s'exerce sur le dos du personnel. En même temps, la complexité des cas ne cesse de croître, ce qui contribue à une augmentation de l'intensité du travail. Résultat : stress, problèmes de qualité et une durée moyenne d'exercice de la profession faible, soit à peine 15 ans. Il suffit d'examiner les salaires dans le secteur des soins pour trouver une explication suffisante : par rapport au salaire moyen dans l'OCDE, seules la Lituanie et la Lettonie paient moins leur personnel soignant que la Suisse !
Il est donc urgent de renforcer sensiblement les conditions de travail et ainsi l'attractivité des professions de soins. Cela doit passer par une rémunération adéquate, des horaires de travail raisonnables et par le développement des compétences professionnelles. L'initiative sur les soins infirmiers de l'ASI - membre de l'USS avec statut d'observatrice - aborde toutes ces questions et exige un paquet complet de mesures pour renforcer la qualité et la quantité des soins. Certes les modifications de loi et décisions présentées dans le cadre d'un contre-projet indirect représentent des progrès évidents dans le domaine de la création de nouvelles places de formation et du renforcement des compétences, mais elles ne contiennent aucune mesure d'amélioration des conditions de travail ou de promotion de la qualité. De plus, les fonds que la Confédération doit fournir conformément au contre-projet dépendent fortement de la participation des cantons. Si certains d'entre eux ne bougent pas, la nouvelle loi restera sans effet. La plus grande faiblesse de la révision est que la prestation indépendante du personnel soignant devra être liée aux " accords avec les assurances ". Cette nouvelle tentative du lobby des assureurs maladie de saper, par des voies détournées, l'obligation contractuelle envers les prestataires de services est tout à fait inacceptable. C'est précisément ce genre de tentative qui a déclenché le lancement de l'initiative sur les soins !
Contre-projet : des améliorations nécessaires
Pour l'USS, il est donc clair que le nouveau Conseil national doit retirer l'" article de lobbying " du projet le plus vite possible lors de la session d'hiver, et ensuite améliorer ce contre-projet en vue d'un éventuel retrait de l'initiative. Il faut des mesures contraignantes pour l'amélioration des conditions de travail (obligation de CCT), des directives claires en matière de cofinancement par les cantons et des obligations légales d'amélioration de la qualité des soins. Enfin et surtout, les modifications de loi ne doivent pas être limitées à une durée de huit ans, comme proposé par le Conseil fédéral. Ce serait malhonnête parce que la " pénurie de personnel infirmier " n'aura pas disparu d'ici là. De plus, d'un point de vue démocratique, la mode actuelle consistant à produire des lois avec dates d'expiration est fondamentalement discutable.
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Union syndicale suisse
28/11/2019
Non au sabotage du partenariat social !
La Commission de l'économie et des redevances du Conseil des États (CER-E) a récemment lancé une attaque frontale contre le partenariat social et la protection cantonale des salaires dans les cantons frontaliers que sont Neuchâtel, le Jura, et le Tessin. Aujourd'hui, la balle est dans le camp du Conseil des États : la motion Baumann, qui a lancé le pavé dans la mare, doit être rejetée, et ce, peu avant la votation au printemps sur l'initiative catastrophique contre la voie bilatérale (initiative " de limitation ").
Le texte (motion 18.3934) porte le joli nom de « Renforcer le partenariat social dans le cadre de conventions collectives nationales de travail ». Ceci est plutôt cynique, car cette motion veut en fait empêcher les cantons de prendre des mesures contre les salaires trop bas : les salaires minimaux cantonaux ne s'appliqueraient plus dans les secteurs où une convention collective de travail (CCT) déclarée de force obligatoire contient également des dispositions sur les salaires. La motion ne veut rien de plus que de produire des travailleurs et travailleuses pauvres.
Pourtant, selon la Constitution fédérale, les cantons sont compétents pour légiférer en matière de politique sociale. Ils peuvent donc également déterminer que les salaires doivent couvrir le minimum vital. C'est pourquoi, lors du débat sur un salaire minimum national, les opposants à l'initiative ont toujours bien souligné que les cantons pouvaient introduire un salaire minimum si nécessaire. Et le Tribunal fédéral a confirmé cette compétence.
Des exceptions à la baisse
Une mise en œuvre de la motion Baumann constituerait une violation flagrante de la Constitution et un sabotage du partenariat social. Les CCT pourraient être dévoyées dans le but d'affaiblir encore davantage un droit du travail déjà bien fluet et de contourner la volonté du législateur. Au lieu de garantir de meilleures conditions que les normes minimales légales pour les salarié-e-s, elles permettraient au contraire de faire des exceptions, à la baisse. Il serait aussi dangereux que scandaleux que les CCT puissent servir d'instrument pour faire baisser les salaires légaux.
Il est inquiétant que cette atteinte à la souveraineté des cantons vienne précisément de la part du Conseil des États. La motion s'attaque en effet aux salaires des employé-e-s dans les régions frontalières des cantons de Neuchâtel et du Jura, mais aussi au Tessin et à Bâle, où une loi cantonale sur le salaire minimum fait actuellement l'objet d'un débat. Il faut espérer que la nouvelle Chambre des États suivra la proposition du Conseil fédéral, des cantons et des syndicats et rejettera la motion Baumann au lieu de torpiller la paix sociale en Suisse.
Les intentions et les méthodes du motionnaire sont particulièrement dangereuses en cette période précédant la votation sur l'initiative de l'UDC. Les cantons frontaliers avaient introduit des salaires minimaux cantonaux comme une des mesures pour lutter contre la pression sur les salaires dans le cadre de la libre circulation des personnes. Ces cantons se verraient désormais privés de cet outil par le Parlement : du pain béni pour l'initiative " de limitation " ! 28 novembre 2019
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Union syndicale suisse
28/11/2019
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